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Soisy-sous-Montmorency est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement du Val-d’Oise en rĂ©gion d’Ăle-de-France.
Ses habitants sont appelés les Soiséens.
La ville se situe dans la vallĂ©e de Montmorency, Ă 12 km au nord des portes de Paris. Elle s’Ă©tend sur trois kilomĂštres environ des rives du lac d’Enghien, au sud, Ă l’orĂ©e de la forĂȘt de Montmorency, au nord sur les coteaux.
Les communes limitrophes sont Andilly, Eaubonne, Enghien-les-Bains, Montmorency et Saint-Gratien.
La commune est facilement accessible de l’autoroute A 15, Ă 3Â km, grĂące au Boulevard intercommunal du Parisis, et se situe Ă moins de 15 min des portes de Paris par la route.
Les voies les plus importantes qui traversent la commune sont trois routes départementales.
La route dĂ©partementale 928 (ex-RN 328) relie Saint-Denis Ă HĂ©rouville, sur le plateau du Vexin français. Elle suit en permanence une direction nord-ouest et traverse successivement Villetaneuse et Deuil-la-Barre avant de former la limite communale entre Montmorency et Enghien-les-Bains au sud, puis traverse Soisy-sous-Montmorency en son centre, Eaubonne et plusieurs autres communes de la vallĂ©e de Montmorency avant de traverser l’Oise entre MĂ©ry-sur-Oise et Auvers-sur-Oise.
La route dĂ©partementale 144 relie Montmorency Ă Saint-Leu-la-ForĂȘt. Elle traverse le tiers septentrional de la commune et se poursuit vers l’ouest Ă travers Andilly, Margency et le nord de la vallĂ©e de Montmorency.
La route dĂ©partementale 109 relie Argenteuil Ă Soisy puis devient la D 109 prolongĂ©e jusqu’Ă Domont oĂč elle rejoint la D 124. Elle traverse la commune dans toute sa longueur du sud au nord, de la limite de Saint-Gratien au quartier des Sources.
Ces différentes infrastructures terrestres ont un impact relativement limité en termes de pollution sonore selon la réglementation. Les principales voies routiÚres sont classées de catégorie 3 ou 4, de niveau modéré[3].
En revanche deux infrastructures sont classĂ©es de catĂ©gorie 2 (Ă©levĂ©e). La premiĂšre est la voie ferrĂ©e Paris-Pontoise qui traverse le sud de la commune. L’impact sonore reste pourtant modĂ©rĂ© vu le trafic exclusivement de banlieue (aucun train de grandes lignes ni de marchandises en situation normale). La seconde est le boulevard intercommunal du Parisis, en projet, dont la rĂ©alisation devrait commencer en 2010. Cette voie urbaine Ă deux fois deux voies qui coupera la ville en deux aura, une fois construite, un impact Ă©levĂ© en matiĂšre de pollution sonore et atmosphĂ©rique. Elle provoque par ailleurs un effet de coupure dans la trame urbaine de la ville.
Soisy-sous-Montmorency est desservie par la gare du Champ de courses d’Enghien, sur le rĂ©seau Transilien Paris-Nord, branches Paris-Nord â Pontoise/Persan-Beaumont. La gare est desservie Ă raison d’un train omnibus tous les 15 minutes en heures creuses et Ă la mĂȘme frĂ©quence en heures de pointe, les trains devenant en revanche semi-directs. Il faut de 14 Ă 18 min de trajet Ă partir de la gare du Nord.
La ville est desservie par le rĂ©seau de bus de la VallĂ©e de Montmorency qui la relie aux communes voisines ainsi qu’aux gares d’Enghien-les-Bains et d’Ermont – Eaubonne, lignes 10, 11, 12, 14, 16, 27 ainsi que par un minibus de desserte communale, le “SoisyBus”.
Le territoire communal est traversĂ© par deux petits cours d’eau : le ruisseau d’Andilly et le ru Saint-ValĂ©ry.
D’une longueur de 3,2 kilomĂštres, le ruisseau d’Andilly naĂźt Ă proximitĂ© du village d’Andilly et se jette dans le rue d’Enghien, affluent du lac d’Enghien puis de la Seine, aprĂšs avoir traversĂ© le sud de la commune d’Andilly et du nord au sud le territoire de Soisy-sous-Montmorency, en souterrain pour l’essentiel. Il alimente une petite piĂšce d’eau Ă la limite d’Andilly et Soisy. Le ru Saint-ValĂ©ry naĂźt en haut du boulevard de l’Orangerie Ă Montmorency, longe la rue de la Fosse-aux-Moines avant de rejoindre Ă Soisy le ruisseau d’Andilly oĂč ils forment ensemble le ruisseau des Trois-Communes qui se dĂ©verse dans le rue d’Enghien formant Ă cette hauteur le Lac Nord ou Petit lac, extension septentrionale du lac d’Enghien.
La commune est alimentĂ©e en eau par la station de traitement de MĂ©ry-sur-Oise, gĂ©rĂ©e par la sociĂ©tĂ© Veolia Environnement. L’eau potable Ă Montmorency est de trĂšs bonne qualitĂ© bactĂ©riologique, contenant peu de nitrates, Ă©tant peu fluorĂ©e et devenue relativement peu calcaire depuis la mise en place de la nanofiltration en 1999 Ă l’usine de distribution. L’eau distribuĂ©e est d’origine superficielle, provenant de la filtration des eaux de l’Oise[6][7].
Soisy-sous-Montmorency comme toute l’Ăle-de-France est soumis Ă un climat ocĂ©anique dĂ©gradĂ©. Il se diffĂ©rencie du climat de Paris intra-muros par un Ă©cart de tempĂ©rature de quelques degrĂ©s, particuliĂšrement notable au lever du jour, et qui a tendance Ă s’accentuer au fil des annĂ©es. Cet Ă©cart, de 2° en moyenne mais qui peut atteindre 8° par une nuit claire et un vent faible, s’explique par la densitĂ© urbaine qui augmente la tempĂ©rature au cĆur de l’agglomĂ©ration. La tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11 °C, le mois le plus le froid est janvier avec +4 °C ; les mois les plus chauds sont juillet et aoĂ»t avec +19 °C (moyenne journaliĂšre).
Soisy-sous-Montmorency est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l’Insee,,,.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Paris, dont elle est une commune du pĂŽle principal. Cette aire regroupe 1Â 929Â communes[13][14].
Les logements Ă Soisy-sous-Montmorency sont en moyenne plus rĂ©cents et plus vastes par rapport Ă la moyenne rĂ©gionale. La ville comptait 7 191 logements dont 6 664 rĂ©sidences principales en 1999. En 1999, 92,7 % des rĂ©sidences soisĂ©ennes Ă©taient des rĂ©sidences principales et seulement 0,5 % des rĂ©sidences secondaires. LâĂąge moyen du parc immobilier est plus faible que la tendance rĂ©gionale, une forte majoritĂ© des logements datant des annĂ©es 1950 et aprĂšs : 53,4 % des rĂ©sidences principales dataient de 1949 Ă 1974, contre 37,8 % en Ăle-de-France. Les constructions rĂ©centes (de 1990 Ă 1999) sont bien moins prĂ©sentes que la moyenne de la rĂ©gion, et ce malgrĂ© le lancement de quelques programmes immobiliers : le territoire communal est en effet presque entiĂšrement urbanisĂ©. En 1999, 6,8 % des rĂ©sidences principales dataient de 1990 ou aprĂšs contre 9,1 % en Ăle-de-France. A contrario, les constructions antĂ©rieures Ă 1949 ne reprĂ©sentaient que 20,7 % du parc contre 33,7 % pour la moyenne rĂ©gionale francilienne.
Soisy-sous-Montmorency est une commune constituée majoritairement de logements collectifs, mais comptant néanmoins un parc pavillonnaire non négligeable, et surtout constituée de propriétaires. Les résidences principales étaient réparties à 40,4 % en maisons individuelles et à 59,6 % en appartements (respectivement 26,9 % et 73,1 % dans la région). 57,6 % des habitants sont propriétaires de leur logement, contre 39,0 % qui ne sont que locataires (respectivement 44,3 % et 51,1 % dans la région),.
La commune est soumise Ă l’obligation lĂ©gislative de construction de 20 % de logements sociaux en vertu de la loi n 2000-1208 du 13 dĂ©cembre 2000 relative Ă la solidaritĂ© et au renouvellement urbains. Avec 1 559 logements HLM soit 23,4 % du parc en 1999 (23,4 % Ă©galement dans la rĂ©gion), la ville respecte les dispositions de la loi. On peut noter en outre que le nombre de logements vacants Ă©tait relativement faible en 1999 avec 6,2 % du parc contre 8,1 % en moyenne rĂ©gionale.
Les habitations se caractĂ©risent par leur surface importante : une forte majoritĂ© compte quatre piĂšces et plus (53,3 %). Suivent les logements de trois piĂšces (29,0 %), puis 2 piĂšces (11,4 %). Les petits logements restent trĂšs minoritaires (studios : 6,3 %). Pourtant, 28,1 % des mĂ©nages n’Ă©taient constituĂ©s que d’une personnes, tendance en augmentation de 19,2 % de 1990 Ă 1999 et qu’on retrouve Ă l’identique dans la rĂ©gion.
La ville possĂšde ainsi des logements assez conformes aux tendances franciliennes avec un parc globalement plus jeune malgrĂ© le faible dynamisme de l’immobilier neuf mais nĂ©anmoins une nette sous-reprĂ©sentation des petites surfaces,.
Attesté sous le nom Soziacum, Choisiacum, Sosiacum in Francia, Soisiaco en 1110, Soisi vers 1205 [20], Sosoi en 1293, Soisy sous Enghien.
Soisy est dĂ©rivĂ© du latin Sosiacus, adjectif sâappliquant Ă une villa qui aurait appartenu Ă un homme appelĂ© Sosius.
Le toponyme est cité en 1110, dans un parchemin qui atteste les Montmorency comme seigneurs du village.
Le nom de la paroisse est mentionnĂ© sous la forme « Sosoi » en 1110 dans un acte d’un seigneur de Montmorency par lequel est fait don Ă l’abbaye Saint-Florent de Saumur des revenus du four banal. Le mĂȘme nom se retrouve dans deux communes du dĂ©partement de l’Essonne. On estime gĂ©nĂ©ralement qu’il serait dĂ©rivĂ© de Sosiacus lui-mĂȘme venant du nom romain Sosius. Le passĂ© gallo-romain est seulement visible dans la prĂ©sence d’une voie dite romaine qui occupait l’axe de la vallĂ©e de Montmorency. Cette voie importante se trouvait sur l’itinĂ©raire de Paris Ă Rouen, via Saint-Denis et Pontoise et on en retrouve le tracĂ© dans les « chaussĂ©es Jules CĂ©sar » utilisĂ©es comme nom de rue Ă Eaubonne et Franconville au NO.
SituĂ© en partie sur les pentes de la grande colline qui porte la forĂȘt de Montmorency, son terroir a Ă©tĂ© favorable Ă la vigne et aux arbres fruitiers. La partie basse, au fond de la large vallĂ©e de Montmorency Ă©tait marĂ©cageuse si bien que l’agglomĂ©ration principale a dĂ» s’Ă©tablir au pied des premiĂšres pentes.
Au Moyen Ăge, plusieurs fiefs sont Ă©tablis dans la paroisse, l’un d’entre eux est celui des seigneurs Ă©ponymes. C’est un Jean de Soisy qui vend Ă Louis XIII le terrain de Versailles sur lequel celui-ci fait construire un pavillon de chasse, prĂ©mices du palais royal Ă venir. Le dernier seigneur de la lignĂ©e des Soisy a Ă©tĂ© tuĂ© en 1703 par les rebelles protestants du Languedoc.
L’abbaye de Saint-Denis a aussi possĂ©dĂ© des terres Ă Soisy comme dans toute la rĂ©gion et un lieudit la Fosse-aux-moines est peut-ĂȘtre la trace d’un vivier destinĂ© Ă l’Ă©levage des poissons pour le CarĂȘme. Le village ne comptait que vingt feux en 1470 ; ils sont soixante-dix-sept lors du dĂ©nombrement de 1709, soit environ trois-cents habitants.
Au XVIII siĂšcle, le dĂ©veloppement de l’agglomĂ©ration parisienne induit, d’une part, la crĂ©ation d’exploitations maraĂźchĂšres et, d’autre part, Ă la construction de chĂąteaux et de villas de plaisance pour les classes aisĂ©es. Il en reste fort peu de tĂ©moins. La mise en service du chemin de fer de Paris Ă Pontoise en 1846 permet la crĂ©ation d’une halte qui prendra le nom de Champ-de-courses d’Enghien quand un hippodrome est Ă©tabli en 1860 en partie sur Soisy et en partie sur Eaubonne. Car, en 1850 est crĂ©Ă©e la commune d’Enghien-les-Bains aux dĂ©pens des communes voisines : Soisy perd un large territoire qui allait jusqu’au bord du lac d’Enghien prĂšs duquel, en 1766, des sources sulfureuses avaient Ă©tĂ© trouvĂ©es par le pĂšre Louis Cotte, oratorien et futur curĂ© de Montmorency (appelĂ©e d’ailleurs Anghien Ă cette Ă©poque).
Le XIX siĂšcle est marquĂ© par le dĂ©veloppement du quartier proche d’Enghien et par l’exploitation du gypse qui affleure en bancs Ă©pais Ă mi-hauteur de la colline. Des carriĂšres accompagnĂ©es de plĂątriĂšres seront exploitĂ©es jusqu’Ă la fin du XXe siĂšcle.
Durant le siÚge de Paris en 1870, le quartier général du IV corps prussien fut installé à Soisy.
Une ligne de chemin de fer sur un parcours escarpĂ© est crĂ©Ă©e en 1866 pour relier Enghien Ă Montmorency. Deux haltes, la gare de Soisy (1871) et la Pointe-Raquet (1895) contribueront Ă l’urbanisation de leurs quartiers. Le train composĂ© de wagons poussĂ©s Ă la montĂ©e par une locomotive Ă vapeur est surnommĂ© le Refoulons. Le service cessera en juin 1954.
Au XIX siĂšcle, les cultures Ă©voluent fortement : la vigne qui occupait 54 ha vers 1780 n’en occupe plus que 10 en 1901, tandis que se dĂ©veloppent le maraĂźchage et l’arboriculture (pommes, poires, cerises, prunes) en raison de la proximitĂ© de la grande ville parisienne.
La loi Loucheur en 1921 provoque une nouvelle vague de constructions qui feront croĂźtre la population jusqu’Ă 7 000 habitants en 1954 et 13 000 en 1964. Le dĂ©veloppement de l’habitat Ă loyers modĂ©rĂ©s (HLM) , d’abord prĂšs de la halte du champ de courses, puis en limite d’Eaubonne gonfle la population qui triple en 20 ans. Ă la fin du siĂšcle disparaissent les activitĂ©s agricoles, puis industrielles comme celles des usines Rincheval (mĂ©canique) et Bernard (fonderies). La commune, bien que devenue l’une des nombreuses communes-dortoir de Paris voit son activitĂ© commerciale se renforcer dans une grande zone de magasins, tandis que le vieux centre, composĂ© d’anciennes fermes difficiles Ă restaurer est rĂ©habilitĂ© en en respectant l’aspect et le volume.
AntĂ©rieurement Ă la loi du 10 juillet 1964, la commune faisait partie du dĂ©partement de Seine-et-Oise. La rĂ©organisation de la rĂ©gion parisienne en 1964 fit que la commune appartient dĂ©sormais au dĂ©partement du Val-d’Oise aprĂšs un transfert administratif effectif au . Elle fait partie de l’arrondissement de Sarcelles.
Pour l’Ă©lection des dĂ©putĂ©s, elle fait partie de la sixiĂšme circonscription du Val-d’Oise.
Soisy-sous-Montmorency a fait partie de 1793 Ă 1967 du canton de Montmorency de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d’Oise, la commune devient en 1967 le chef-lieu du Canton de Soisy-sous-Montmorency. Dans le cadre du redĂ©coupage cantonal de 2014 en France, la commune fait Ă nouveau partie du canton de Montmorency dont la composition est alors modifiĂ©e, passant de 2 Ă 6 communes.
La ville appartient Ă l’unitĂ© urbaine et Ă l’aire urbaine de Paris.
La commune fait partie de la juridiction dâinstance de Montmorency, et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise,.
La ville Ă©tait le siĂšge de la CommunautĂ© d’agglomĂ©ration de la vallĂ©e de Montmorency (CAVAM), crĂ©Ă©e en 2002.
Dans le cadre de la mise en Ćuvre de la loi MAPAM du 27 janvier 2014, qui prĂ©voit la gĂ©nĂ©ralisation de l’intercommunalitĂ© Ă l’ensemble des communes et la crĂ©ation d’intercommunalitĂ©s de taille importante, la CAVAM fusionne avec sa voisine pour former le la communautĂ© d’agglomĂ©ration Plaine VallĂ©e dont Soisy est dĂ©sormais membre.
Politiquement, Soisy-sous-Montmorency est une commune de droite.
Au rĂ©fĂ©rendum sur le traitĂ© constitutionnel pour lâEurope du , les SoisĂ©ens ont approuvĂ© Ă une nette majoritĂ© la Constitution EuropĂ©enne, avec 55,89 % de Oui contre 44,11 % de Non avec un taux dâabstention de 33,38 % (France entiĂšre : Non Ă 54,67 % ; Oui Ă 45,33 %). Ces chiffres sont contraires Ă la tendance dĂ©partementale du Val-d’Oise (Non Ă 53,47 % ; Oui Ă 46,53 %) mais lĂ©gĂšrement supĂ©rieurs aux rĂ©sultats franciliens (Oui 53,99 % ; Non 46,01 %).
Ă lâĂ©lection prĂ©sidentielle de 2007, le premier tour a vu se dĂ©marquer en tĂȘte Nicolas Sarkozy avec 38,12 %, suivi par SĂ©golĂšne Royal avec 24,56 %, François Bayrou avec 20,26 %, Jean-Marie Le Pen avec 7,87 %, enfin Olivier Besancenot avec 3,00 %, aucun autre candidat ne dĂ©passant le seuil des 2 %. Le second tour a vu arriver largement en tĂȘte Nicolas Sarkozy avec 57,27 % (rĂ©sultat national : 53,06 %) contre 42,73 % pour SĂ©golĂšne Royal (national : 46,94 %).
Les SoisĂ©ens ont dĂ©jĂ votĂ© en majoritĂ© Ă gauche, notamment lors d’Ă©lections europĂ©ennes. En 1999, la liste socialiste « Construisons notre Europe » de M. François Hollande arrive en tĂȘte avec prĂšs de 18,51 % des suffrages, juste devant la liste « Rassemblement pour la France » de M. Charles Pasqua qui rĂ©colte 14,89 % des voix, et celle de M. Nicolas Sarkozy « L’union pour l’Europe » avec 13,05 %. Cela se confirme en 2004, avec prĂšs de 24,39 % des voix pour la liste socialiste de M. Harlem DĂ©sir, devançant ainsi la liste de droite de M. Patrick Gaubert, ne rĂ©coltant que 20,56 % des suffrages[30].
Le meilleur score de la gauche, toute Ă©lection confondue, a Ă©tĂ© obtenu lors des Ă©lections cantonales de 1994 oĂč le socialiste Alain Verdy l’avait emportĂ© sur la commune avec 51,32 % des suffrages face au maire de l’Ă©poque, Roger Faugeron, mais il n’avait pas Ă©tĂ© Ă©lu conseil gĂ©nĂ©ral. En effet sur le Canton de Soisy-sous-Montmorency qui comprend Ă©galement les villes d’Andilly et de Margency, rĂ©putĂ©es plus Ă droite que Soisy, le score final du candidat socialiste a Ă©tĂ© de 48,68 % des voix.
En mars 2008, Luc Stréhaiano, UMP, est élu maire pour un troisiÚme mandat, à la suite du premier tour des élections municipales avec un résultat pour sa liste à hauteur de 68 % des suffrages exprimés face à une seule autre liste, divers gauche « Soisy pour Tous ! ».
Lors des Ă©lections rĂ©gionales de 2010 la liste de l’union de la gauche et des Ă©cologistes de Jean-Paul Huchon obtient 47,87 % des suffrages contre 52,13 % Ă la candidate UMP, ValĂ©rie PĂ©cresse (Ăle-de-France : Huchon 56,69 % ; Pecresse 43,31 %). Une hausse de 4,4 % pour la gauche par rapport aux Ă©lections rĂ©gionales de 2004 oĂč elle avait obtenu 43,49 % des voix[34]. Lors de l’Ă©lection prĂ©sidentielle de 2012, Nicolas Sarkozy l’emporte dans cette commune avec 53,11 % des suffrages exprimĂ©s. Aux Ă©lections municipales de 2014, la liste du maire sortant, Luc StrĂ©haiano, UMP, l’emporte nettement avec 62,36 % des suffrages exprimĂ©s.
Le mandat municipal 2014-2020 est marqué par plusieurs affaires judiciaires entourant le maire de la commune, Luc Strehaiano, et des membres de son équipe municipale ;
 Freiberg am Neckar (Allemagne) depuis 1984.
Soisy-sous-Montmorency est la ville marraine de l’AldĂ©baran, remorqueur de sonar de la Marine nationale depuis le 8 mai 2000.
L’Ă©volution du nombre d’habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Ă partir de 2006, les populations lĂ©gales des communes sont publiĂ©es annuellement par l’Insee. Le recensement repose dĂ©sormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une pĂ©riode de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă la suite d’une enquĂȘte par sondage auprĂšs d’un Ă©chantillon d’adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans,
En 2019, la commune comptait 18 033 habitants, en augmentation de 2,25 % par rapport Ă 2013 (Val-d’Oise : +4,6 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Treize Ă©tablissements scolaires publics dispensent l’enseignement Ă Soisy :
Cinq écoles maternelles, six écoles primaires et deux collÚges (le collÚge Descartes et le collÚge Schweitzer). La commune possÚde également une école privée catholique (rue de la Fontaine-Saint-Germain).
La commune relĂšve de l’acadĂ©mie de Versailles. Les Ă©coles de la commune sont gĂ©rĂ©es par lâinspection gĂ©nĂ©rale de l’inspection dĂ©partementale de lâĂducation nationale de Montmorency (103, avenue du GĂ©nĂ©ral-de-Gaulle 95160 Montmorency). La circonscription fait partie du bassin d’Ă©ducation et de formation d’Enghien-les-Bains.
Un centre nautique est rĂ©alisĂ© en limite d’Andilly et de Soisy-sous-Montmorency. Il comprend trois bassins (un bassin de compĂ©tition de 25 m Ă 8 couloirs, un bassin de perfectionnement et un d’initiation et un « espace forme »). Les travaux ont Ă©tĂ© lancĂ©s en 2010. Le coĂ»t du bĂątiment est Ă©valuĂ© Ă 11,5 millions d’euros, et est notamment financĂ© dans le cadre d’un contrat de territoire passĂ© avec l’Ătat, le DĂ©partement et la RĂ©gion.
L’Ă©quipement dĂ©nommĂ© « la Vague », dont la mise en service est d’abord escomptĂ©e fin 2009[56], puis annoncĂ©e pour le 1 juillet 2011[57] est finalement inaugurĂ© le 25 juin 2011.
Au bord du terrain de football et d’athlĂ©tisme, se trouve la tĂȘte de « RomĂ©o », un des quatre gĂ©ants qui ont dĂ©filĂ© dans Paris, le 9 juin 1998, pour marquer le dĂ©but de la coupe du monde de football de 1998 en France. ExposĂ©e sur le parking d’un centre commercial Ă Moisselles, elle est remportĂ©e par le club de Soisy lors d’un tournoi de football dont elle a Ă©tĂ© le prix[60].
Le Rugby Club de Soisy Andilly Margency a Ă©tĂ© sacrĂ© champion d’Ăle-de-France de 1 SĂ©rie 2008-2009. AprĂšs avoir terminĂ© premier de sa poule (15 victoires, 3 dĂ©faites et 487 points marquĂ©s pour seulement 121 encaissĂ©s en 18 matches), le 10 mai 2009, le Rugby Club de Soisy Andilly Margency domine l’AJL Limay et remporte la finale sur le score de 12 Ă 06. Le RCSAM accĂšde ainsi Ă la Promotion d’Honneur, division dans laquelle le club commence la saison 2009-2010. Lors de la saison 2009-2010, le RCSAM termine deuxiĂšme de sa poule et se qualifie ainsi pour le Championnat de France de Promotion d’Honneur, dont il atteindra les demi-finales.
Le gypse affleure Ă mi-hauteur de la butte-tĂ©moin portant la forĂȘt de Montmorency : il s’agit de fait du plus important lit de gypse d’Europe. Au XIX siĂšcle, des carriĂšres accompagnĂ©es de plĂątriĂšres apparaissent. Elles furent exploitĂ©es jusqu’Ă la fin du XXe siĂšcle. La PlĂątriĂšre Vieujot reprend Ă partir de 1947, la carriĂšre du PavĂ©-Saint-Paul. Cette carriĂšre dite du Trou-du-Loup n’est plus exploitĂ©e, mais la plĂątriĂšre continue son activitĂ© sur le site, ce qui ne manque pas de poser des problĂšmes environnementaux dans un cadre aujourd’hui trĂšs urbanisĂ©.
Une importante entreprise de travaux publics, J.Fayolle et Fils (Chiffre d’affaires 2005 : 146 837 000 euros), est trĂšs liĂ©e Ă la ville, oĂč elle possĂšde son siĂšge social. Un important dĂ©pĂŽt est situĂ© dans la zone artisanale de la commune, Ă la limite d’Andilly.
Un important centre commercial, « Les Deux CĂšdres », se situe sur le territoire de la commune Ă la limite d’Eaubonne, comportant un hypermarchĂ© Auchan ainsi qu’une enseigne du bricolage (Bricorama), une jardinerie (Magasin Vert) et une galerie commerçante. Ă proximitĂ© immĂ©diate, un autre centre commercial de dimension plus modeste comporte une moyenne surface commerciale (Leader Price) et quelques commerces indĂ©pendants.
Soisy ne compte aucun monument historique classĂ© ou inscrit sur son territoire, mais une petite partie du site de la carriĂšre du « Trou du loup » constitue un site classĂ©. En revanche, les stalles de l’Ă©glise sont classĂ©es[63].
SituĂ© avenue Kellermann (RD 109), l’hippodrome, d’une surface de 44 ha, se trouve presque entiĂšrement sur la commune de Soisy-sous-Montmorency (96 % de sa surface, 4 % sur la commune dâEaubonne), mais porte le nom de la commune voisine d’Enghien-les-Bains, bien plus cĂ©lĂšbre alors. L’activitĂ© hippique existe en ce lieu dĂšs 1860, or ce n’est que le 15 avril 1879 que fut inaugurĂ© un vĂ©ritable hippodrome. ExploitĂ© dĂšs 1886 par la sociĂ©tĂ© sportive d’encouragement Ă sa crĂ©ation, puis achetĂ© par celle-ci en 1921, une piste en dur y est Ă©difiĂ©e en 1922. Durant les deux conflits mondiaux, le champ de courses fut fermĂ©. Le premier TiercĂ© eut cet hippodrome pour cadre. Il est gĂ©rĂ© depuis 1997 par le Cheval Français et spĂ©cialisĂ© dans les courses de trot et d’obstacles ; la piste fut rĂ©novĂ©e et un puissant Ă©clairage permettant les courses en nocturne mis en place en 1986. Il porte depuis 1999 le nom officiel d’hippodrome d’Enghien-Soisy. Le Prix de l’Atlantique s’y dĂ©roule chaque mois d’avril.
SituĂ©e chemin de l’Orangerie, ce sont les seuls vestiges d’un des trois anciens chĂąteaux de Soisy-sous-Montmorency, qui ont tous Ă©tĂ© dĂ©molis. Le chĂąteau du Val-Ombreux, bĂąti au XVIII siĂšcle, fut quant Ă lui dĂ©moli en 1983 au bout d’une longue pĂ©riode d’abandon. L’orangerie, Ă©galement longtemps en piteux Ă©tat, a Ă©tĂ© restaurĂ©e au dĂ©but des annĂ©es 1990 et est devenue le lieu de confĂ©rences et d’exposition de la commune. C’est un bĂątiment de style classique assez sobre, de plan rectangulaire et avec un Ă©tage plus pas que le rez-de-chaussĂ©e. Des bossages aux angles des murs et des treillis sur les murs pignons en constituent les principaux Ă©lĂ©ments d’ornementation[65].
Le parc du Val Ombreux comprend plusieurs espĂšces dâarbres peu communes dont certaines sont renseignĂ©s par de petits panneaux, et dont notamment un arbre aux mouchoirs (Davidia involucrata).
SituĂ©e rue Carnot, l’Ă©glise, Ă la dĂ©dicace de saint Germain de Paris existait avant 1624 succĂ©dant peut-ĂȘtre Ă une chapelle des seigneurs de Soisy mentionnĂ©e en 1270. Elle a Ă©tĂ© reconstruite en 1757 dans un style classique, avec la façade principale donnant sur l’est et le chevet Ă l’ouest, contrairement Ă l’usage. La façade est tripartite et s’Ă©lĂšve sur deux niveaux, et son agencement est proche des maisons bourgeoises de l’Ă©poque, exception faite du clocher qui se dresse sur la partie droite de la façade. Le corps central lĂ©gĂšrement saillant est surmontĂ© par un fronton triangulaire et percĂ© d’une baie plein cintre en dessus du portail en anse de panier. Les pilastres qui cantonnent les trois segments de la façade ne sont qu’esquissĂ©s. Sur la gauche se trouve un niche avec statue au niveau du rez-de-chaussĂ©e, et une fenĂȘtre rectangulaire bouchĂ©e Ă l’Ă©tage. Ă droite, une baie plein cintre remplace la niche, et la fenĂȘtre au premier Ă©tage n’est que partiellement murĂ©e. Le clocher, seul vestige de la construction antĂ©rieure de 1536, constitue le second Ă©tage. Il est ajourĂ© d’une baie abat-son en anse de panier par face, et coiffĂ© d’un toit Ă quatre versants. Contrairement Ă ce que suggĂšre la façade, les bas-cĂŽtĂ©s n’atteignent pas la mĂȘme hauteur que la nef centrale, qui se termine par un court chĆur Ă chevet plat. La nef communique avec ses bas-cĂŽtĂ©s par des arcades plein cintre, et l’ensemble de l’Ă©glise est voĂ»tĂ© en berceau avec doubleaux. Les sections des voĂ»tes au-dessus des arcades sont Ă©vasĂ©es,. Les stalles du XVIe siĂšcle, provenant probablement de l’Ă©difice antĂ©rieur, sont classĂ©es monuments historiques depuis le 4 dĂ©cembre 1914. Le cimetiĂšre qui entourait originellement l’Ă©difice a Ă©tĂ© dĂ©placĂ© en 1850. L’Ă©glise a Ă©tĂ© agrandie par une extension moderne en 1968 par adjonction dâune vaste « nef » de 800 places qui sâouvre derriĂšre les arcades du bas-cĂŽtĂ© droit de la nef originelle. La nouvelle Ă©glise se retrouve orientĂ©e au nord. Ă noter lâinscription de la devise rĂ©publicaine « LibertĂ©, ĂgalitĂ©, Fraternité » inscrite au fronton de lâĂ©glise Ă la RĂ©volution.
Ă lâintĂ©rieur, un chemin de mosaĂŻques rythme au sol la progression dans lâĂ©glise. Bien que paraissant trĂšs anciennes, elles datent de lâagrandissement de 1968.
La commune possÚde deux parcs et de nombreux espaces verts :
La ville compte 23Â ha dâespaces verts et soixante-trois points fleuris entretenus par dix-sept jardiniers municipaux.
Soisy sâest vue remettre en novembre 1999 sa quatriĂšme fleur au Concours des villes et villages fleuris, devenant Ă l’occasion la seule commune du dĂ©partement Ă possĂ©der quatre fleurs. La commune est par ailleurs rĂ©guliĂšrement rĂ©compensĂ©e depuis cette date[69].
Au moins un film a été tourné à Soisy. On peut citer :
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