- Val d'Oise (95)
Menu
Nous contacter
Basée à Sarcelles au sein du département des Val-d’Oise, notre société spécialiste en revêtement est parvenue à être un leader dans les services de gouttière grâce au sérieux et aux compétences de notre équipe d’artisans couvreurs . Quoique puisse être vos aspirations autour des travaux de gouttière, nous vous proposerons toujours la meilleure solution afin que vos travaux soient effectués avec succès. Nous sommes dotés de fortes années d’expertise et d’ailleurs nous ne fournissons que des services de qualité. En tant que couvreur à Sarcelles qui assurent vos services, nous promettons que le rendu vous conviennent. Nous intervenons à l’ensemble des projets de d’installation de gouttière à l’aide de plusieurs techniques et compétence tout en tenant en compte de la demande de la clientèle.
Notre société vous propose, plusieurs matériaux pour la fixation de gouttière à Sarcelles. En effet, vous aurez l’embarras du choix en ce qui concerne les matériaux : en bac acier, en bois, en PVC, en cuivre, en zinc ou en aluminium. Nous employons uniquement des matières de qualité afin que la réalisation des travaux de pose gouttière dans la ville de Sarcelles soit réalisée dans le respect des normes.
Notre entreprise veille à être le meilleur afin s’élever au niveau le plus haut. Nos artisans tâchent de n’oublier aucune étape au moment du nettoyage complet. Pour la technique de soufflement du système d’égouttage ou bien de vidage manuel, les déchets pourront se propager dans toute la résidence à assurer. Nous vous assurons cependant qu’aucune salissure ne sera délaissée et que votre habitation sera plus saine qu’à notre début de services. Nous vous offrons un devis gratuit pour une estimation des travaux à accomplir.
Si vous apercevez que le système de gouttière est en mauvais état, Il faut envisager un remplacement très rapidement, ou sinon, effectuer des réfections gouttière. Pour bénéficier d’un travail efficace et surtout à la hauteur de vos attentes concernant la pose et le renouvellement du système d’égouttage dans la ville de Sarcelles, contactez-nous ou sollicitez-nous votre devis installation du système d’égouttage ou alors votre devis de remplacement du système d’égouttage qui vous sont offerts.
Sarcelles est une commune française située dans le département du Val-d’Oise en région Île-de-France.
Ville emblématique de la banlieue parisienne, elle vit s’édifier un des premiers grands ensembles français de 1955 à 1970. Elle est devenue en l’an 2000 sous-préfecture du département du Val-d’Oise, en remplacement de Montmorency. Elle est également membre de la communauté d’agglomération Roissy Pays de France.
Sarcelles est une ville de la banlieue nord de Paris, située à environ 15 kilomètres de la capitale. L’agglomération est constituée de deux parties distinctes : le vieux Sarcelles, dit « Sarcelles-village », édifié au bord du Petit Rosne et regroupé autour de l’église Saint-Pierre-et-Saint-Paul de Sarcelles, et le grand ensemble contemporain, édifié dans les années 1950 un kilomètre plus au sud. C’est en réaction à cet urbanisme identifié à la Caisse des Dépôts et Consignations, l’un de ses financeurs principaux, que seront édifiées les Villes Nouvelles comme Cergy ou Marne-la-Vallée. La ville s’étend sur 4,6 km du nord au sud et 3,1 km d’est en ouest.
La ville est limitrophe des communes de Montmagny, Groslay, Saint-Brice-sous-Forêt, Écouen, Villiers-le-Bel, Arnouville et Garges-lès-Gonesse dans le département du Val-d’Oise ainsi que Stains et Pierrefitte-sur-Seine dans le département voisin de la Seine-Saint-Denis.
Sarcelles est desservie par deux gares ferroviaires, une ligne de tramway et plusieurs lignes de bus.
Il y a la gare de Sarcelles – Saint-Brice qui se trouve à l’ouest et la gare de Garges – Sarcelles D, à l’est.
La gare de Pierrefitte – Stains D se situe également à proximité de la commune et est accessible par la ligne 268 de la RATP.
Depuis le , le tramway 5 dessert cinq stations situées dans le Grand Ensemble de Sarcelles : Garges – Sarcelles D, Lochères, Paul Valéry, Les Flanades et Les Cholettes.
Les lignes 133, 168, 268, 269, 270, 355, 368 et 370 du réseau de bus RATP, N43 et N44 du Noctilien, la ligne 95.02 du réseau de bus Busval d’Oise, la ligne Vitavil du réseau de bus CIF, Filéo et les lignes 27 et 37 du réseau de bus de la Vallée de Montmorency desservent la commune.
Aucune autoroute ne dessert la ville. Seule la route nationale 16 (Paris-Chantilly) la relie directement à la capitale en la traversant du sud au nord. La route départementale 125 la traverse d’ouest en est et constitue une importante liaison locale reliant Sarcelles-village au quartier de Lochères mais également un axe intra-départemental du Val-d’Oise (Montmorency-Garges-lès-Gonesse-Dugny-Le Bourget).
Cette dernière voie devrait être soulagée à terme par la réalisation de l’« avenue du Parisis » (ex-boulevard Intercommunal du Parisis), reliant Argenteuil à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, ce dernier situé à moins de quinze kilomètres de Sarcelles et constituant un important pôle d’emploi.
Le climat à Sarcelles est caractéristique de celui de l’Île-de-France, c’est-à-dire soumis à un climat océanique dégradé caractérisé par une certaine modération. La localisation de la commune au sein de l’agglomération parisienne provoque une très légère élévation de la température d’un ou deux degrés en fonction des conditions climatiques par rapport aux zones rurales d’Île-de-France. Cet écart est particulièrement notable au lever du jour par temps calme et anticyclonique, et la situation a tendance à s’accentuer au fil des années. La température moyenne annuelle est de 11 °C, le mois le plus le froid est janvier avec +4 °C ; les mois les plus chauds sont juillet et août avec +19 °C (moyenne journalière). Le nombre moyen de jours où la température dépasse 25 °C est de 40, dont 8 au-delà de 30 °C. Dans le sud du Val-d’Oise, depuis 1955, la durée moyenne annuelle d’ensoleillement est de 1 719 heures.
Sarcelles est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal. Cette aire regroupe 1 929 communes[6][7].
Sarcelles est divisé en huit quartiers distincts (population 1999/part de la population totale de la ville) :
Le « village » est constitué d’un habitat continu bas, majoritairement du XIX siècle et du début du XXe siècle, entrecoupé d’immeubles plus récents. Au nord, s’étend un important quartier pavillonnaire, les Chardonnerettes. À l’est, se situe une grande zone d’activité le long de la RN 16, deux petits quartiers pavillonnaires (le Haut du Roy et le Mont de Gif) ainsi que quelques cultures céréalières qui résistent à l’urbanisation. Au sud, se situe le quartier de Sarcelles-Lochères, la ville nouvelle des années 1950, constituée de tours et d’immeubles de quatre étages. Ce quartier reste clairement séparé du reste de l’agglomération, aucune trame urbaine cohérente ne le liant aux autres quartiers. Un parc et des équipements sportifs séparent en effet les deux. Près de deux cents hectares ne sont pas bâtis, ce qui représente près de 30 % de la surface de la commune.
Sarcelles présente ainsi tous les éléments constitutifs d’un paysage urbain, faisant cohabiter des zones rurales avec des quartiers pavillonnaires et une importante zone d’habitat collectif dense.
Sarcelles comptait 18 048 résidences principales en 1999 sur un total de 19 419 logements. Le parc immobilier sarcellois possède une spécificité par rapport à la moyenne de la région : en 1999, seulement 3,1 % des résidences principales dataient de 1990 ou après contre 9,1 % en Île-de-France. De même, les constructions antérieures à 1949 ne représentaient que 6,2 % du parc contre 33,7 % pour la moyenne régionale francilienne.
Sarcelles possède peu d’édifices anciens, tous rassemblés dans le village, et construit peu aujourd’hui, car soumis au plan d’exposition au bruit de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle qui limite drastiquement la construction. L’essentiel du parc date des années 1955 à 1970 : pas moins de 78,1 % des logements ont été bâtis entre 1949 et 1974. Cette particularité provoque un réel problème d’urbanisme et de financement : tout le parc ayant sensiblement le même âge, tout est également à réhabiliter en même temps.
84,4 % des logements sont des résidences principales, réparties à 16,4 % en maisons individuelles et à 83,6 % en appartements (respectivement 26,9 % et 73,1 % dans la région). Seulement 33,0 % des habitants sont propriétaires de leur logement, contre 64,8 % de locataires (respectivement 44,3 % et 51,1 % dans la région),.
Avec 9 505 logements de type HLM soit 52,7 % du parc en 1999 (23,4 % dans la région), la ville respecte largement les dispositions de l’article 55 de la loi solidarité et renouvellement urbain (SRU) de décembre 2000 fixant à 20 % le taux minimum de logements sociaux pour les communes les plus importantes.
La taille des ménages est bien plus importante que dans la région : la ville ne compte que 21,4 % de personnes vivant seules contre 34,6 % dans la région, en revanche les familles importantes représentent 11,0 % de la population contre 2,8 % dans la région. Le nombre moyen de personnes par logement est important : 3,2 personnes en moyenne contre 2,4 en Île-de-France. La situation s’explique par une part élevée de populations d’origine immigrée aux familles très nombreuses.
La plupart des habitations possèdent 4 pièces ou plus (57,9 % contre 41,4 % en moyenne régionale) ; les petits logements restent minoritaires : seulement 2,1 % de logements d’une pièce contre 11,8 % dans la région.
La ville possède par conséquent des logements de plus grande surface que la moyenne francilienne habitées par des familles nombreuses, mais une part très importante de ces logements sont de type HLM, ce qui favorise la ghettoïsation de la commune,.
Le quartier de Lochères est construit entre 1955 et 1976 par l’architecte Jacques Henri-Labourdette et Roger Boileau. Les premiers habitants arrivent en 1956. Il comporte 12 368 logements en location et en propriété. Ce très grand ensemble est constitué de 10 sous-quartiers :
Attestée sous le nom Cercerillæ, Cersilla en 894[16], Sarcellæ, Serseia en 1163, Sercellæ, Sercelles en 1262.
Cersilla en 894, forme à rapprocher peut-être de Cersoilus, forme attestée au IX siècle pour Cerseuil (Aisne) où l’on a retrouvé des tombeaux antiques, or à Sarcelles, des travaux entrepris en 1877 ont mis au jour un grand nombre de sarcophages : l’explication par “le lieu aux sarcophages” est plausible[17].
Sarcelles pourrait venir de « Cercillia » (domaine de « Cercillius »).
Sarcelles viendrait plus plausiblement de « cercella » qui dans la langue gallo-romane signifierait lieu où l’on fabrique des cercles ou cerceaux pour les barriques de vin. Rappelons que la vigne fut introduite en France par les romains et que Sarcelles eut un passé de vignerons.
Le nom de la ville proviendrait de l’anthroponyme gallo-romain Cercellus ou peut-être de « Cercella », cité en 862 : fabrique de cerceaux pour tonneaux.
L’occupation du site remonte probablement au paléolithique, des chasseurs-cueilleurs fréquentant alors la vallée du Petit Rosne. Une occupation humaine est attestée entre le I siècle et le Ve siècle de notre ère par la découverte d’un établissement thermal romain au lieu-dit « le Haut du Roi ».
À la suite de nombreuses fouilles, il a été établi que les Mérovingiens s’y sont installés jusqu’à l’arrivée des Francs, après l’effondrement de l’Empire romain.
Pillé par les Huns, le village retrouve une prospérité relative à partir du VII siècle, devenu la seigneurie de l’abbaye de Saint-Denis. L’existence d’une communauté villageoise est attestée par la donation en 894 d’une ferme sur le territoire royal de Cercelles « Ex fisco nostro Cercilla » par le roi Eudes à Heriman, trésorier de l’abbaye de Saint-Denis. Celui-ci lui accorde ainsi que sept familles serves et un moulin sur la rivière Rodonus, le Petit Rosne[19]. Au XIII siècle, on trouve la graphie Sarcella[20].
Des seigneurs vassaux des Montmorency organisent des campagnes d’essartage et provoquent le développement économique du village. Durant la guerre de Cent Ans, Sarcelles est occupé par les Anglais de 1420 à 1436, puis est détruit par les huguenots en 1567 lors de leur retrait après la bataille de Saint-Denis. Propriété des Popincourt au milieu du XV siècle, elle était la possession des Neufbourg et fut érigée en marquisat en 1629. La propriété passa en 1685 au marquis d’Hautefort qui y fonda un hôpital.
Le village du XVIII siècle vit de la viticulture et des arbres fruitiers. Le dénombrement de l’élection de Paris compte trente-neuf feux en 1709 ; le dictionnaire universel publié en 1726 annonce mille-soixante habitants[21]. En 1729, lorsque l’archevêque de Paris révoque le curé de Sarcelles, l’auteur pamphlétaire Nicolas Jouin écrira une suite de harangues qui eurent un tel succès qu’elles donnèrent naissance à un genre littéraire : la sarcellade, du nom du village,,.
Au XIX siècle, Sarcelles, comme de nombreuses communes environnantes, vit essentiellement de la viticulture. La vigne occupe alors la quasi-totalité de la surface cultivable. Mais à la suite de l’épidémie de phylloxéra de 1879 qui décima les vignes, les Sarcellois se reconvertissent dans les cultures légumières au tout début du XXe siècle, en particulier dans la culture des petits-pois qui nécessitaient une abondante main-d’œuvre estivale, les cueilleux. Au cours des mois de récolte (juin-juillet), la population est multipliée par deux passant en 1902 par exemple de 2 380 à 4 800 habitants. La récolte était alors expédiée vers les halles de Paris par wagons entiers par sacs de 50 kg. L’arboriculture est également importante, les poiriers en particulier, les vergers s’étendant alors sur plusieurs communes de la Plaine de France et de la vallée de Montmorency après le conflit de 1870. En 1870 et 1871, le village est occupé par les Prussiens qui le laissent en ruines. Durant l’année 1892, le village est victime d’une épidémie de choléra.
Dans les années 1930, la culture légumière est prédominante : sur 350 hectares de terres cultivables, 96 sont occupés par les cultures de petits-pois, 65 par les choux-fleurs. Durant le XX siècle, Sarcelles perd peu à peu son caractère rural avec l’implantation de diverses industries : une cotonnerie, une fonderie d’aluminium, une fabrique de rubis synthétiques, une autre de tuiles, une de briques, de dentelles en fil d’or, ou encore de toiles. L’activité de briquetier fut très présente à Sarcelles de la Révolution française à la fin de la Seconde Guerre mondiale grâce à la nature argileuse du sous-sol. Deux familles ont dominé localement cette activité : les Censier durant plus d’un siècle, et les Bastin.
Mais c’est après la Seconde Guerre mondiale que l’histoire de Sarcelles s’accélère. Dans un contexte national de pénurie de logements amplifiée par un solde naturel très positif (« baby boom ») et dans le même temps une immigration massive mais également le rapatriement des français d’Algérie dont une partie non négligeable s’installera à Sarcelles, un Grand Ensemble dit de première génération (caractérisé par urbanisme de longues barres horizontales, sans recherche architecturale, le long des rails implantés pour les grues de chantier) s’installera ex nihilo au milieu des champs de la bourgade sarcelloise.
On doit la conception de la cité aux architectes français Jacques Henri Labourdette et Roger Boileau, qui ont œuvré entre 1955 et 1975. Au total, ce sont 12 368 logements qui sont ainsi construits pour le compte de la SCIC et ses filiales, ce qui en fait sans doute le plus vaste grand ensemble de France.
Une campagne commence dans les années 1962-1963 menée par la grande presse quotidienne de l’époque (l’Aurore, le Figaro, France soir…) où va se dégager peu à peu le thème de la « sarcellite » (le terme de la « sarcellite » aurait été inventé par un habitant s’exprimant sur les ondes d’Europe 1[27]). La « sarcellite » serait la maladie des habitants de Sarcelles, la maladie des habitants des grands ensembles. Les journalistes de la presse écrite, qui disaient avoir enquêté dans les grands ensembles, développaient des représentations médiatiques qui condamnaient Sarcelles et les grands ensembles. Mais les historiens des grands ensembles mettent en évidence, à l’encontre de cela, un véritable attachement des habitants à leur cité, qui était aussi visible dans des émissions de la RTF[26]. Sarcelles n’était par ailleurs pas un désert social, politique ou idéologique. Les militants d’associations locales, les réseaux chrétiens, chrétiens de gauche, les partis politiques (PSU, PCF…) étaient présents.
En juillet 2014, à l’occasion de manifestations en faveur de la Palestine, des émeutes accompagnées de violences éclatent dans la ville, qui avait déjà autrefois été fortement touchée par les émeutes de 2005 et de 2007,.
Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964, la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d’Oise après un transfert administratif effectif au .
La ville est le chef-lieu de l’arrondissement de Sarcelles depuis l’an 2000. La sous-préfecture a emménagé à Sarcelles quatre ans plus tard, en avril 2004. C’est par l’impulsion de Jean-Pierre Chevènement, alors ministre de l’Intérieur, et de son conseiller Jean-Yves Autexier (Maire-adjoint à Sarcelles d’Henri Canacos, maire PCF jusqu’en 1983) que le déménagement de la sous-préfecture a été possible.
Sarcelles faisait partie de 1801 à 1964 du canton d’Écouen, puis de 1964 à 1967 du canton de Sarcelles du département de Seine-et-Oise. Dans le cadre de la mise en place de celui du Val-d’Oise, elle est divisée entre les cantons de Sarcelles-Est et de Sarcelles-Saint-Brice. Une réforme de 1985 fait que Sarcelles est alors divisée en deux cantons (Sarcelles-Nord-Est et Sarcelles-Sud-Ouest. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune constitue à elle-seule le nouveau canton de Sarcelles.
Sarcelles relève de la compétence du tribunal de proximité de Gonesse (depuis la suppression du tribunal d’instance d’Écouen en février 2008), et du tribunal judiciaire ainsi que de commerce de Pontoise. La ville accueille par ailleurs une maison de la justice et du droit (31, avenue du 8-Mai-1945)[34][35].
La commune a créé en 1997 avec Villiers-le-Bel la communauté de communes Val de France à laquelle d’autres communes d’autres communes ont ensuite adhéré et qui s’est transformée en communauté d’agglomération en 2002 sous le nom de communauté d’agglomération Val de France.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du 27 janvier 2014, qui prévoit la généralisation de l’intercommunalité à l’ensemble des communes et la création d’intercommunalités de taille importante, ainsi que de la volonté de mieux répartir les ressources fiscales générées par le pôle aéroportuaire de l’Aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle, cette intercommunalité fusionne avec la communauté d’agglomération Roissy Porte de France en intégrant des communes issues de la communauté de communes Plaines et Monts de France, créant le [36][37] la communauté d’agglomération Roissy Pays de France, dont la commune est désormais membre.
Lors de l’élection présidentielle de 2002, le premier tour a vu arriver en tête Lionel Jospin avec 25,0 %, suivi de Jacques Chirac avec 15,1 %, Jean-Marie Le Pen avec 13,4 %, puis Alain Madelin avec 11,9 %, Christiane Taubira avec 8,5 %, François Bayrou avec 5,0 %, Jean-Pierre Chevènement avec 4,5 % et Arlette Laguiller avec 4,0 %, aucun autre candidat ne dépassant le seuil des 3,5 %.
Au second tour, les électeurs ont voté à 86,5 % pour Jacques Chirac contre 13,5 % pour Jean-Marie Le Pen avec un taux d’abstention de 23,9 %, valeurs très supérieures en faveur de Jacques Chirac par rapport à la tendance nationales (respectivement 82,21 % et 17,79 % ; abstention 20,29 %).
Au référendum sur le traité constitutionnel pour l’Europe du , les Sarcellois ont très massivement rejeté la Constitution Européenne, avec 62,51 % de Non contre 37,49 % de Oui avec un taux d’abstention particulièrement élevé de 43,70 % (France entière : Non à 54,67 % ; Oui à 45,33 % ; abstention : 30,63 %). Ces chiffres sont très supérieurs à la tendance départementale du Val-d’Oise (Non à 53,47 % ; Oui à 46,53 %) mais inverses aux résultats franciliens (Oui 53,99 % ; Non 46,01 %).
À l’élection présidentielle de 2007, le premier tour a vu très majoritairement les suffrages se placer sur les deux principaux candidats, en tête Ségolène Royal avec 37,35 % (national : 25,87 %), suivi de Nicolas Sarkozy avec 33,98 % (national : 31,18 %), puis François Bayrou avec 12,95 % et Jean-Marie Le Pen avec 6,90 %, aucun autre candidat ne dépassant le seuil des 3,5 %. Le second tour a vu arriver en tête Ségolène Royal avec 53,27 %, Nicolas Sarkozy totalisant 46,73 % des suffrages sarcellois, chiffres inverses aux résultats nationaux avec un taux d’abstention de 18,19 %, légèrement supérieur à la moyenne nationale de 16,03 %.
Lors des élections municipales de 2008, la liste d’union de la gauche conduite par François Pupponi a été élue dès le premier tour avec 68,83 % des suffrages exprimés. Cela lui ouvre la voie pour un second mandat (2008-2014), ou un troisième si l’on prend en compte sa succession à Dominique Strauss-Kahn en 1997. Il est réélu lors des municipales de 2014, mais, frappé par les règles limitant le cumul des mandats en France doit démissionner en août 2017 à la suite de sa réélection comme député dans la huitième circonscription du Val-d’Oise.
Il fait élire en septembre 2017 par le conseil municipal son successeur, Nicolas Maccioni, son premier adjoint aux finances depuis 2014. Celui-ci ayant démissionné en mars 2018 pour « des raisons personnelles et familiales », il est remplacé par la communiste Annie Péronnet en mars 2018, élue avec 28 voix, 17 abstentions, alors que la majorité municipale compte 36 sièges. Celle-ci démissionne « pour raisons de santé » en décembre 2018. Le conseil municipal élit donc le quatrième maire de la mandature 2014-2020, Patrick Haddad, unique candidat du groupe de la majorité socialiste et apparenté, par 34 voix contre 9 face à David Grandon (LREM).
Lors du deuxième tour des élections municipales de 2020 dans le Val-d’Oise, la liste PS menée par le maire sortant Patrick Haddad remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 5 584 voix (57,85 %, 36 conseillers municipaux élus dont 13 communautaires) devance de 1 516 voix celle DVG de l’ancien maire François Pupponi (4 068 voix, 42,14 %, 9 conseillers municipaux élus, dont 3 communautaires), lors d’un scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France où 63,98 % des électeurs se sont abstenus[44][45].
L’un des colistiers de François Pupponi a contesté les résultats des élections, alléguant de nombreuses et graves irrégularités dans la campagne électorale et des comptes de campagne. Aucun de ces griefs n’a été retenu par le tribunal administratif de Cergy, qui a donc confirmé le la régularité de l’élection[47].
Depuis juin 2000, Sarcelles possède également un conseil des retraités citoyens, ouvert aux personnes âgées d’au moins cinquante ans et en préretraite ou retraite. Cette initiative a été mise en œuvre après avoir constaté que bon nombre de retraités souhaitaient fortement être acteurs dans la vie de la cité et y jouer un rôle social. Ils participent à une ou plusieurs des quatre commissions thématiques de réflexion : citoyenneté, environnement, interculturelle et mémoire.
La ville possède également un conseil local des jeunes, composé de vingt-quatre jeunes âgés de quinze à vingt ans et issus des différents quartiers de la ville.
Sarcelles a connu un développement très rapide qui la classe dans la catégorie des villes-champignons : ne comptant qu’environ 8 000 habitants au début des années 1950, elle en avait 35 800 en 1962 et dépassait 50 000 avant la fin des années 1960, devenant la deuxième plus grande ville du Val-d’Oise derrière Argenteuil. La ville occupe le 78 rang national en population. Son taux de natalité est de 20,29/1000 et son taux de mortalité de 6,40/1000. Sarcelles est une ville jeune : 34,9 % de la population a moins de 20 ans, 42,4 % moins de 25 ans et 13,6 % a plus de 60 ans.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d’une enquête par sondage auprès d’un échantillon d’adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans,
En 2019, la commune comptait 59 196 habitants, en augmentation de 2,89 % par rapport à 2013 (Val-d’Oise : +4,6 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Sur un total de 57 871 habitants en 1999, 9 285 (16 %) étaient nés à l’étranger et de nationalité étrangère, 6 282 (11 %) étaient français d’acquisition et 3 413 (6 %) étaient français de naissance mais nés à l’étranger ou bien dans les anciens départements français d’Algérie. La ville compte une des plus importantes communauté de rapatriés d’Algérie.
Si, parmi les étrangers, la part des Algériens (14,7 %) ou des Marocains (11,8 %) reste conforme à la moyenne régionale (respectivement 17,3 % et 10,4 %), celle des Tunisiens est importante avec 15,5 % à Sarcelles contre 6,1 % dans la région. La part des Turcs est également très importante : 12,4 % contre 2,6 % dans la région. La part des autres pays de naissance est conforme aux tendances régionales avec 37,8 %, pour l’essentiel de pays d’Afrique subsaharienne à Sarcelles,.
En 1999, 62,2 % des jeunes de moins de 18 ans étaient d’origine étrangère (au moins un parent immigré) et en 2005, les jeunes d’origine maghrébine, subsaharienne ou turque sont devenus majoritaires dans la commune,.
D’après une étude de Michèle Tribalat et Bernard Aubry retraçant l’évolution des concentrations ethniques en France entre 1968 et 2011, 67,4 % des jeunes de moins de 18 ans résidant à Sarcelles en 2011 sont d’origine étrangère (au moins un parent immigré dont 64,6 % au moins un parent né hors d’Europe) contre 19,7 % en France métropolitaine.
Un tiers des habitants sont juifs et Sarcelles est surnommée à ce titre « La Petite Jérusalem ». On y trouve la plus grande concentration de magasins cachères, de synagogues, d’écoles et autres institutions juives de toute la région parisienne. Durant l’été 2014, une manifestation en faveur de Gaza eut lieu à Sarcelles. En marge de celle-ci, des militants pro-palestiniens déclenchèrent une violente émeute antisémite[84], et visèrent spécialement les commerces, caillassés et incendiés, appartenant à des juifs. La synagogue, protégée par la police, a été menacée par une foule scandant des slogans antisémites tel « Mort aux Juifs ». Ces événements, qui ont fortement marqué la communauté juive et chez qui le sentiment d’insécurité à fortement augmenté, ont engendré une vague de départ dans la communauté juive de Sarcelles,. Déjà en 2012, l’attentat à la grenade de la cellule terroriste de Cannes – Torcy avait visé une supérette casher à Sarcelles.
Cinquante-cinq établissements scolaires dispensent l’enseignement à Sarcelles dont cinq privés.
Il faut y ajouter deux établissements spécialisés :
Lycées :
La ville relève de l’académie de Versailles et de l’inspection académique du Val-d’Oise. Les écoles de la commune sont gérées par les inspections de l’inspection départementale de l’Éducation nationale de Saint-Brice-Sarcelles-Nord (6, allée Jean-de-La Fontaine 95350 Saint-Brice-sous-Forêt) et de Sarcelles-Sud (École Delpech, 148, avenue de la Division-Leclerc). Les deux circonscriptions font partie du bassin d’éducation et de formation de Sarcelles.
Sarcelles possède un important centre sportif accompagné de plusieurs gymnases et autres équipements sportifs à travers la commune :
L’Association Amicale et Sportive de Sarcelles, club omnisports. Sa section notable est le Karaté, n 1 en France au classement 2006 de la Fédération[87]
Sarcelles relève de deux centres hospitaliers : l’hôpital de Gonesse et le centre hospitalier Intercommunal d’Eaubonne-Montmorency (CHEIM). La ville accueille par ailleurs l’Hôpital Privé Nord Parisien, fondé en 1963, qui a ouvert en 2019 un important centre de néphrologie, le plus grand du Val-d’Oise[89].
La commune dispose de trois maisons de retraite, les résidences Mapi (privée), Santé le cèdre bleu (publique) et la résidence des Vergers (foyer logement)[90].
La ville de Sarcelles possède une mauvaise réputation en ce qui concerne la sécurité et les revenus des habitants. En effet, la ville connait un taux de criminalité très élevé et figure parmi les villes les plus pauvres de France, avec un taux de chômage particulièrement haut. Le quartier des Lochères souffre aujourd’hui encore d’une délinquance enracinée, de l’implantation du trafic de drogues et d’organisations criminelles en bandes organisées mais également d’insalubrité. Il a été retenu parmi les principaux « quartiers de reconquête républicaine ». Les affrontements entre bandes sont les plus gros fléaux de la ville. Elle a été sévèrement touchée par les émeutes de 2005 et fut l’un des épicentres des émeutes de 2007.
Église catholique. Les fidèles de la paroisse de Sarcelles-village sont accueillis à l’église Saint-Pierre-et-Saint-Paul (rue de l’Église) et ceux de la paroisse de Sarcelles Lochères à l’église Sainte-Trinité-Jean-XXIII (avenue Auguste-Perret). La paroisse de Sarcelles relève du doyenné de Sarcelles et du diocèse de Pontoise. Depuis 2019, la paroisse de Sarcelles est confiée à la communauté Saint-Martin.
La communauté catholique chaldéenne se retrouve à l’église Saint-Thomas Apôtre, qui est la plus grande église d’Europe où se retrouve cette communauté, qui chante encore en araméen, la langue du Christ, ;
Église copte. Les fidèles se retrouvent à l’église Saint-Athanase ;
Église protestante. Les paroissiens de Sarcelles se retrouvent au Grenier de Sarcelles ;
Église évangélique. La communauté est gérée par le pasteur Jean-Claude Boutinon ;
Salle du Royaume des témoins de Jéhovah. Les fidèles de Sarcelles se réunissent dans la Salle du Royaume de Pierrefitte-sur-Seine ;
Islam. Les fidèles musulmans se retrouvent dans cinq mosquées. La mosquée A.M.I.S et la mosquée Foi et Unicité se trouvent dans le grand ensemble de Sarcelles. Les fidèles peuvent aussi se retrouver à la mosquée située avenue du stade dans le quartier des Chardonnerettes. Il y a aussi la mosquée En Nour située dans le quartier des Rosiers, ainsi que la mosquée de l’Association culturelle musulmane vietnamienne située dans le quartier du Haut-du-Roy;
Culte israélite. Cinq synagogues sont situées dans le grand ensemble de Sarcelles. Les fidèles peuvent aussi se retrouver dans la synagogue située dans le quartier du Haut-du-Roy ou bien dans celle, située dans un pavillon, dans le quartier des Chardonnerettes.
Sarcelles comptait 2 651 entreprises au 31 décembre 2004. 86 % de ces établissements comptaient moins de cinq salariés.
Le parc industriel de l’Escouvrier comptait en l’an 2000 sur une surface de soixante hectares 80 entreprises offrant 3 000 emplois.
Le taux de chômage en 1999 s’élevait à 20,9 %, soit 8 points de plus que la moyenne nationale. La ville comptait 1954 bénéficiaires du RMI au 31 décembre 2004. Le revenu moyen par ménage est de 17 854 € l’an.
Sarcelles-Lochères fut l’un des premiers quartiers classés dans la liste des zones franches urbaines par la loi du afin de promouvoir le développement des quartiers dits « sensibles ». La ZFU de Garges – Sarcelles (Lochères) est la plus vaste de France. Entre autres entreprises, l’Agence Nationale pour le Chèque-Vacances (ANCV) y possède dorénavant son siège social[99].
La ville possède très peu de grandes entreprises ; parmi les principales, on peut citer les deux premières en chiffre d’affaires : JCB-France (matériels pour BTP) avec 177M d’€, Rex-Rotary (filiale de Ricoh, copieurs, connectique) avec 62M d’€ (chiffres 2004). Ainsi que la société France Télécom-Orange, dont le central téléphonique rue Montfleury abrite le Pole SAV desservant le territoire de la Plaine Val-de-France.
Sarcelles compte deux monuments historiques sur son territoire.
Sarcelles possède deux fleurs au Concours des villes et villages fleuris, récompensant les efforts de fleurissement de la commune.
La ville offre toute l’année un accès varié à la culture :
La bibliothèque municipale Anna-Langfus (37, Bd Bergson), actuellement mise en réseau avec les autres bibliothèques de la communauté d’agglomération, propose en consultation ou en prêt plus de 66 000 livres ainsi qu’environ 110 titres de magazines. L’espace jeunesse à destination des enfants de moins de 14 ans met 3 500 livres à leur disposition. S’y ajoute un espace musique, situé 1, place de Navarre, mettant à disposition plus de 7 000 CD. Les tarif d’abonnement pour emprunter sont symboliques : 2 euros pour un adulte, gratuit jusqu’à 18 ans ainsi que pour les chômeurs et les bénéficiaires du RMI.
L’école municipale de musique à rayonnement communal (2 avenue Paul-Langevin), enseigne une trentaine de disciplines, pour les enfants comme pour les adultes, dont le jazz, les instruments à cordes ou à vent ainsi que des pratiques collectives : chorales, musique de chambre, ateliers, etc. ;
L’école municipale d’arts Janine-Haddad (5, route de Garges)[110] ;
La salle André-Malraux (rue Taillepied – Sarcelles Village),
La maison du patrimoine, (1 rue des Piliers – Sarcelles-Village) ;
Plusieurs maisons de quartier, comme celles des Vignes blanches, des Chardonnerettes et Valéry Watteau. Et trois centres sociaux : l’un municipal Rosier-Chantepie (1 rue Gascogne), le second de la Caisse d’Allocations Familiales du Val-d’Oise Les Lochères (centre commercial n 4, avenue Paul-Valéry) et le dernier associatif Ensemble à Sarcelles (5 rue de Pontoise)
Le « Club des Belles Images » est une association des photographes amateurs et professionnels créée en 1971.
Le Forum des Cholettes, fermé en 1997 pour cause d’amiante, était un centre culturel fondateur de l’identité du Grand Ensemble. Grande salle de spectacles, cinéma de 250 places, foyers d’exposition, salle de bal, etc.
Depuis 2017, la ville dispose d’un multiplexe à l’enseigne CGR My Place.
Sarcelles a été le cadre de plusieurs films, dont les plus célèbres évoquent la brutale mutation urbaine et sociale des années 1960 :
Ces deux films mettent en scène Jean Gabin qui incarne un rejet, au cinéma, des grands ensembles en construction. Jean Gabin apparaît dans un certain nombre de films dans lesquels les grands ensembles sont construits et détruisent le monde dans lequel il vivait. Dans Rue des prairies de Denys de La Patellière, Gabin qui habite une rue parisienne faubourienne et populaire à Paris, est contremaître sur le chantier à Sarcelles. Il est ainsi amené à construire les structures de ce qui va détruire le monde ancien dans lequel il vit, dans le XXe arrondissement de Paris. C’est aussi le cas de Mélodie en sous-sol en 1963, où il ne retrouve pas son pavillon au milieu des barres d’immeubles de Sarcelles nouvellement construites.
Sarcelles est une des villes emblématiques de la banlieue et du rap français. Le rappeur Stomy Bugsy a vécu toute sa jeunesse à Sarcelles qu’il évoque souvent dans ses chansons ainsi que dans celles du groupe Ministère A.M.E.R. dont il fut un des membres avec Passi. Ce groupe a sorti en 1994 un album dénommé « 95200 », code postal de la ville. Le collectif hip-hop Secteur Ä, « Ä » venant d’un quartier de Sarcelles appelé La Secte Abdoulaye, est né à partir du défunt ministère A.M.E.R. et a rassemblé plusieurs rappeurs de la ville et de celles voisines de Garges-lès-Gonesse comme les Neg’ Marrons ou le duo Arsenik, originaire de Villiers-le-Bel et, le groupe de rap des Locheres Thug, originaire du quartier des Lochères à Sarcelles, le groupe de jeunes rappeurs se fait connaitre dans leur quartier grâce à leur musique Dans Le Mille.
Le groupe de jazz-rock Red Noise a également sorti en janvier 1971 son unique album baptisé Sarcelles-Lochères.
Les Inconnus, célèbres humoristes français ont cité Sarcelles en 1992 dans le clip C’est ton destin parodiant les chansons de Rap.
Pierre Perret évoque Sarcelles dans sa chanson Mon Pierrot : « Et ça s’est terminé à la mairie d’Sarcelles / Devant ses vieux qui tiraient des tronches de sortie d’bal ».
La chanson Béton armé de Max Rongier, José Cana et H. Gougaud, interprétée par Les Frères Jacques, évoque Sarcelles à propos des « grands ensembles » et dit « Sarcelle était un nom d’oiseau ».
La ville de Sarcelles s’est engagée dans un travail de collecte de la mémoire des Sarcellois : la mémoire de la libération des habitants, là où ils vivaient pendant cette période de guerre. Ces textes publics permettront de mieux comprendre le quotidien des français pendant cette période douloureuse. Il sera également possible de lire l’histoire de Sarcelles pendant cette période.
Richard Couverture vous propose de multiples services dans le Val d’Oise (95). Découvrez ici quelques chiffres à propos de notre entreprise.
Richard Couverture, en tant qu’artisan couvreur dans le Val d’Oise, installé à Gonesse (95500) dans le Val d’Oise (95) interviennent rapidement sur toute partout dans le 95 et autour de Gonesse pour tous vos projets de rénovation de toit, réparation de toiture, recherche de fuites, étanchéité de toiture, pose de velux, isolation, charpente, démoussage, traitement, pose de gouttière, intervention en urgence etc… Nous sommes disponibles partout dans le Val d’Oise, à Saint-Leu-la-Forêt, Taverny, Le Plessis-Bouchard, Enghien-les-Bains, Soisy-sous-Montmorency, Saint-Prix et toutes les plus grandes villes du Val d’Oise. N’hésitez pas à nous consulter !
Notre agent peut intervenir en tout lieu pour réaliser la mise en place de toit, la maintenance ou alors la rénovation, le nettoyage, la mise en place de canalisation, l’isolation de vos combles ou bien alors la pose de volet à Sarcelles et au alentour. N’ayez pas peur de nous appeler en cas de souci. Nous nous serons enchantés de vous guider en tant que couvreur certifié dans la ville de Sarcelles.
Les artisans couvreurs de Richard Couverture situé à Gonesse (95500) interviennent rapidement sur tout le Val d’Oise (95) pour tous vos travaux de toiture, zinguerie, étanchéité, pose et réparation. Nos spécialistes sont équipés de tout le matériel nécessaires pour effectuer les interventions suivantes: démoussage et nettoyage de toiture; réparation et pose de gouttières; charpenterie; installation de Velux ou lucarnes. Sachez que nos professionnels offrent une intervention en urgence 24h/24 7j/7 . N’hésitez pas à nous consulter !
Mentions Légales | Gestion des cookies | Protection de la vie privée | Plan du Site | Ils Parlent de Nous sur Internet | Partenaires
Inscrivez votre numéro de téléphone ci-dessous et on vous rappellera rapidement.