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Puis, il vous sera nĂ©cessaire de rajouter le prix de la main dâĆuvre. Mais si vous souhaitez avoir un devis personnalisĂ©, nous sommes disponibles Ă vous aider dans cette procĂ©dure.
En conclusion, lâisolation des combles constitue une opĂ©ration dĂ©licate, surtout dans le cas oĂč vous dĂ©sirez que vos dĂ©penses de chauffage ne soient pas trop salĂ©es. Soulignons Ă©galement que câest un acte trĂšs Ă©cologique, ce qui nâest pas nĂ©gligeable !
Sannois est une commune française du dĂ©partement du Val-d’Oise et de la rĂ©gion Ăle-de-France.
Ses habitants se nomment les Sannoisien(nes).
Sannois est situĂ©e sur le flanc est des buttes-tĂ©moins de Cormeilles et d’Orgemont, Ă quinze kilomĂštres au nord-ouest de Paris.
La ville est traversĂ©e par l’autoroute A15 ainsi que l’A115.
Sannois est desservie par une gare du Transilien Paris Saint-Lazare depuis le . Précédemment, elle était située sur la ligne C du RER.
La ville est Ă©galement desservie par la ligne 261 de la RATP ainsi que par la ligne 95-19 et la ligne 95-29 du rĂ©seau Busval d’Oise.
La commune est limitrophe d’Argenteuil, Cormeilles-en-Parisis, Franconville, Ermont et Saint-Gratien.
Sannois est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l’Insee,,,.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Paris, dont elle est une commune du pĂŽle principal. Cette aire regroupe 1Â 929Â communes[5][6].
En 2018, le nombre total de logements dans la commune Ă©tait de 11Â 165, alors qu’il Ă©tait de 10Â 999 en 2013 et de 10Â 825 en 2008.
Parmi ces logements, 93,4 % Ă©taient des rĂ©sidences principales, 0,8 % des rĂ©sidences secondaires et 5,8 % des logements vacants. Ces logements Ă©taient pour 33,1 % d’entre eux des maisons individuelles et pour 66,3 % des appartements.
Le tableau ci-dessous prĂ©sente la typologie des logements Ă Sannois en 2018 en comparaison avec celle du Val-d’Oise et de la France entiĂšre. Une caractĂ©ristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de rĂ©sidences secondaires et logements occasionnels (0,8 %) infĂ©rieure Ă celle du dĂ©partement (1,3 %) mais supĂ©rieure Ă celle de la France entiĂšre (9,7 %). Concernant le statut d’occupation de ces logements, 55,5 % des habitants de la commune sont propriĂ©taires de leur logement (54,1 % en 2013), contre 56 % pour le Val-d’Oise et 57,5 pour la France entiĂšre.
Le nom de la localité est attesté sous les formes Centinodium au XII siÚcle[7], Centum Nuces en 1205, Cennoiz en 1208, Cent noys[9], Cent-Noix en 1304, Sanois en 1403, Sampnoix en 1564, Sanoy en 1711.
Plusieurs hypothĂšses fantaisistes ont Ă©tĂ© proposĂ©es : Sannois serait issu du latin centum nuces, « cent noix » ou plutĂŽt « cent noyers », la ville comptant alors beaucoup de vergers, et donc d’arbres fruitiers. Elle pourrait aussi avoir des origines celtes et provenir des mots san « herbe Ă fourrage » et noue « terre grasse »[12]. Une origine latine serait aussi possible avec le nom centinodium qui signifie « cent mesures de bois de chauffage ».
Ces explications impliquent le rejet arbitraire de la forme la plus anciennement attestĂ©e Centinodium, sauf la derniĂšre qui lui donne une signification erronĂ©e. De toute Ă©vidence, la forme tardive et isolĂ©e Cent-Noix est une fantaisie de scribe et ne correspond pas aux formes anciennes rĂ©guliĂšrement mentionnĂ©es et Ă la forme actuelle Sannois. Quant au terme de noyer en français, il est issu du latin populaire *nucarius « noyer ». Le terme « celte » qualifie anciennement aussi une langue celtique qui, en Gaule hors Bretagne, ne peut ĂȘtre que du gaulois et il n’existe aucun terme gaulois san signifiant « herbe Ă fourrage », ni aucun terme gaulois noue signifiant « terre grasse ». Quand bien mĂȘme san existerait, il est incompatible avec les formes les plus anciennement attestĂ©es en Cen-. Quant Ă noue, il s’agit d’une confusion, il existe effectivement un terme noue « terre grasse et humide servant de pĂąturage » en ancien français[14] (autrement noĂ« cf. nom de famille DelanoĂ«), attestĂ© en latin mĂ©diĂ©val sous la forme nauda et issu vraisemblablement du gaulois *nauda. Cependant, il ne convient pas phonĂ©tiquement, car -nauda> -noda n’est pas -nodium et n’a pas pu aboutir Ă -noiz, -nois. En revanche, -nodium a rĂ©guliĂšrement donnĂ© -noi.
Selon les toponymistes, il s’agit peut-ĂȘtre d’une forme masculine du latin centinodia « renouĂ©e des jardins » qui aurait donnĂ© Santenoge (Haute-Marne, Centenoiges 1218). L’herba centinodia (centÄnĆdÄus, a, um, mot-Ă -mot centum « cent » + nodus « nĆud », c’est-Ă -dire « qui a cent nĆuds ») ou centinode, est une espĂšre de renouĂ©e, dont le nom savant est polygonum.
Le nom de « Sannoisien » a Ă©tĂ© donnĂ© Ă un sous-Ă©tage de l’OligocĂšne (Ăšre tertiaire / CĂ©nozoĂŻque), situĂ© entre -37 et -30 millions d’annĂ©es. Les principaux faciĂšs sont des marnes Ă cyrĂšnes (bivalves), des argiles vertes, et le calcaire de Sannois.
Les premiers indices d’occupation humaine autour du territoire actuel de Sannois datent du PalĂ©olithique moyen (nombreux outils en pierre taillĂ©e) ; ils sont dĂ©couverts au lieu-dit le Puits-Gohier, Ă l’emplacement de l’Ă©changeur actuel de l’A15 lors de fouilles ouvertes dans les anciennes carriĂšres Poliet-et-Chausson. Ces vestiges, les plus anciens dĂ©couverts en vallĂ©e de Montmorency, sont constituĂ©s de plusieurs milliers de piĂšces en silex ou en grĂšs, racloirs, bifaces, pointes, lames, etc.
Du mobilier nĂ©olithique a Ă©tĂ© signalĂ© au lieudit Le PrĂ©-Brochet, et des vestiges gallo-romains auraient Ă©tĂ© observĂ©s rue Damiette. En 1914, lors du creusement d’une tranchĂ©e militaire « aux environs de Sannois », une sĂ©pulture a Ă©tĂ© dĂ©couverte, dont la datation serait antique ou mĂ©rovingienne[16].
Les origines du chĂąteau du May ou du Mail, qui se dressait sur la butte de Sannois, sont dĂ©battues. L’abbĂ© Lebeuf le datait de l’Ă©poque mĂ©rovingienne, mais AndrĂ© Vaquier estimait qu’il aurait Ă©tĂ© construit vers 880 pour dĂ©fendre l’abbaye de Saint-Denis contre les incursions des Vikings
La paroisse aurait Ă©tĂ© instituĂ©e au haut Moyen Ăge.
Aux XIâââXIIe siĂšcles, il est fait pour la premiĂšre fois mention de Sannois (Ă l’Ă©poque Centinodium) dans un registre ecclĂ©siastique. Le village s’installe alors autour de son Ă©glise et de son chĂąteau au pied du mont Trouillet.
La lĂ©proserie Saint-Ladre est attestĂ©e en 1291, au nord de l’ancien Grand chemin de Paris Ă Pontoise, au-delĂ du chemin d’Ermont (actuelle rue du Lieutenant-Keiser).
Le chĂąteau de Mail est ruinĂ© au dĂ©but du XII siĂšcle lors d’une expĂ©dition armĂ©e conduite pour rĂ©gler un conflit entre l’abbaye de Saint-Denis et Bouchard IV de Montmorency. RelevĂ©e entre-temps, le rĂ©gent Charles de France en ordonne la destruction en 1359 pour Ă©viter qu’il ne soit investi par les Anglais lors de la Guerre de Cent Ans[16]. Il devient ensuite un domaine des Hospitaliers dont il ne reste au XV siĂšcle qu’une grange dĂ©nommĂ©e la grange auxeroise qui renfermait les rĂ©coltes de la commanderie de Mail du grand prieurĂ© de France[17]. Pour remettre les terres en culture, Bertrand de Cluys, prieur de France, cĂšde en viager, Ă Josse Delaporte, frĂšre de l’Ordre, qui a lui mĂȘme, en 1478, fait un bail Ă un sieur Mercier. Le fermage Ă©tait de cent sols parisis et l’obligation de faire bĂątir une maison avec grange, Ă©curie, Ă©tables et dĂ©fricher soixante arpents de terre par annĂ©e,. La seigneurie est alors partagĂ©e entre le prieurĂ© d’Argenteuil, dĂ©pendant de l’abbaye de Saint-Denis, la maison de Montmorency et les Hospitaliers, ainsi que divers petits fiefs[16]. Entre 1575 et 1582, Regnault Penelle (mort en 1618), maĂźtre couvreur et bourgeois de Paris, reconstitue les deux fiefs de Hugot et du Grand-HĂŽtel. Il est autorisĂ© par Henri III Ă creuser des fossĂ©s autour du chĂąteau et y ajouter un pont-levis. Ă la RĂ©volution française, il ne reste de ce domaine que la chapelle et 150 arpents de terre[19].
Aux XVI et XVIIe siĂšcles, la ville connaĂźt un vĂ©ritable essor du fait de sa situation gĂ©ographique entre Pontoise et Paris et Ă l’Ă©tablissement d’un relais de poste. L’Ă©glise date du XVII siĂšcle et il y avait plusieurs chĂąteaux; celui de Cernay, de Crinon, et de l’Ermitage.
Ce village fut le premier qui, en 1626, admit l’Ă©tablissement des sĆurs de la CharitĂ©.
L’activitĂ© de la ville est alors essentiellement agricole, et surtout viticole, en particulier Ă partir du XVIII siĂšcle.
Au XVIIIÂ siĂšcle, Sannois compte trois moulins Ă vent bĂątis sur le Mont Trouillet[16].
En 1870, la ville comptait 223 hectares de vigne qui occupait prÚs de la moitié de la population.
Au XIX siĂšcle, l’agriculture disparaĂźt peu Ă peu au profit de l’industrie. Il ne subsistent en 1900 que 45 hectares de vignes. Les carriĂšres de plĂątre, qui connaissent une grande expansion avec l’arrivĂ©e du chemin de fer en 1863, ont toutes fermĂ©es Ă la fin de la Seconde Guerre mondiale. RĂ©cemment, la mairie de Sannois a replantĂ© un petit vignoble et crĂ©Ă© un poste de vigneron municipal. Les premiĂšres vendanges ont eu lieu Ă l’automne 2006.
L’archiviste-palĂ©ographe AndrĂ© Vaquier signale dans ses ouvrages que Sannois frappa quelque temps ses propres jetons pour pallier la pĂ©nurie de monnaie qui suivit immĂ©diatement la guerre.
La ville possĂ©dait quelque temps un gĂąteau qui lui Ă©tait propre, aux noix et Ă la pĂąte d’amandes, qui se nommait « le pavĂ© de Sannois ».
AntĂ©rieurement Ă la loi du , la commune faisait partie du dĂ©partement de Seine-et-Oise. La rĂ©organisation de la rĂ©gion parisienne en 1964 fit que la commune appartient dĂ©sormais au dĂ©partement du Val-d’Oise et son arrondissement d’Argenteuil aprĂšs un transfert administratif effectif au .
Pour l’Ă©lection des dĂ©putĂ©s, la commune fait partie de la sixiĂšme circonscription du Val-d’Oise.
Elle faisait partie de 1793 Ă 1964 du canton d’Argenteuil, annĂ©e oĂč elle intĂšgre le canton de Cormeilles-en-Parisis du dĂ©partement de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d’Oise, elle devient en 1967 le chef-lieu du canton de Sannois. Dans le cadre du redĂ©coupage cantonal de 2014 en France, la commune est dĂ©sormais intĂ©grĂ©e au canton d’Argenteuil-1.
La commune est le siĂšge du tribunal d’instance de Sannois. Elle relĂšve du ressort du tribunal judiciaire ainsi que de celui du tribunal de commerce de Pontoise,.
La commune Ă©tait membre de la communautĂ© d’agglomĂ©ration du Parisis depuis 2013.
Dans le cadre de la mise en Ćuvre de la loi de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des mĂ©tropoles (loi MAPAM) du , qui prĂ©voit la gĂ©nĂ©ralisation de l’intercommunalitĂ© Ă l’ensemble des communes et la crĂ©ation d’intercommunalitĂ©s de taille importante, cette intercommunalitĂ© a fusionnĂ© avec sa voisine pour former, le , la CommunautĂ© d’agglomĂ©ration Val Parisis dont est dĂ©sormais membre la commune.
Lors des Ă©lections municipales de 2014 dans le Val-d’Oise, la liste DVD menĂ©e par Bernard Jamet a remportĂ© la majoritĂ© des suffrages exprimĂ©s, avec 4 478 voix (48,19 %, 26 conseillers municipaux Ă©lus dont 7 communautaires), devançant largement celle UMP-UDI menĂ©e par le maire sortant Yanick Paternotte, qui a obtenu 3 061 voix (32,94 %, 6 conseillers municipaux Ă©lus dont 1 communautaire).
La troisiÚme liste (PS-PCF-EELV) menée par Christophe Dulouard a obtenu 1 752 voix (18,85 %, 3 conseillers municipaux élus, dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin, 44,26Â % des Ă©lecteurs se sont abstenus,.
Au second tour des Ă©lections municipales de 2020 dans le Val-d’Oise, la liste DVD menĂ©e par le maire sortant Bernard Jamet obtient la majoritĂ© des suffrages exprimĂ©s avec 2 628 voix (47,8 %, 26 conseillers municipaux Ă©lus dont 7 communautaire), devançant significativement les listes menĂ©es respectivement par[27][28] :
– Nicolas Ponchel (DVD â qui bĂ©nĂ©ficiait de la fusion de la liste du 1 tour DVC menĂ©e par Dominique Gaubert  â avec 2 206 voix (40,13 %, 7 conseillers municipaux Ă©lus dont 2 communautaires) ;
– Gilles Heurfin (DVG, 663 voix, 12,06Â %, 2 conseillers municipaux Ă©lus).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 65,28 % des électeurs se sont abstenus.
La commune participe au Concours des villes et villages fleuris et possĂšde en 2020 trois fleurs au classement.
Les Ă©tablissemnets d’enseignement situĂ©s sur la commune sont les suivants :
L’Ă©volution du nombre d’habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Ă partir de 2006, les populations lĂ©gales des communes sont publiĂ©es annuellement par l’Insee. Le recensement repose dĂ©sormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une pĂ©riode de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă la suite d’une enquĂȘte par sondage auprĂšs d’un Ă©chantillon d’adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans,
En 2019, la commune comptait 26 565 habitants, en augmentation de 0,03 % par rapport Ă 2013 (Val-d’Oise : +4,6 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Sannois possĂšde 2 clubs de football, l’Entente Sannois Saint-Gratien Ă©voluant en National 2 , ainsi que la G.A.F.E.P.
La ville dispose de l’un des trois clubs de football amĂ©ricain du dĂ©partement, les Gaulois, qui sont actuellement en 2 Division.
En 2010, le revenu fiscal mĂ©dian par mĂ©nage était de 33 850 âŹ, ce qui plaçait Sannois au 8 004 rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 mĂ©nages en mĂ©tropole[46].
Le taux de chĂŽmage, en 2016, pour la commune s’Ă©lĂšve Ă 13,3 %, un chiffre nettement supĂ©rieur Ă la moyenne nationale (9,7 %).
Sannois compte un monument historique sur son territoire :
On peut également signaler :
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