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Notre société veille à être plus performante afin monter au plus haut niveau. Nos artisans s’efforcent de ne négliger aucune étape au moment du nettoyage. Pour la technique de soufflement de gouttières ou de vidage de façon manuelle, les déchets peuvent se propager partout dans la résidence à assurer. Nous nous témoignerons pourtant qu’aucune saleté ne sera délaissée et que votre maison sera plus impeccable qu’à notre début d’interventions. Nous mettrons à votre disposition un devis non payant pour une estimation des services à effectuer.
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Saint-Ouen-l’Aumône est une commune du Val-d’Oise, faisant partie de la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise et située au bord de l’Oise.
Ses habitant(e)s sont les Saint-Ouennais(es).
Située sur la rive gauche de l’Oise, en face de Pontoise, elle fut à l’origine un faubourg agricole puis (après 1860) ouvrier de celle-ci. Aujourd’hui, elle fait partie de l’agglomération de la ville nouvelle de Cergy-Pontoise. Saint-Ouen-l’Aumône abrite depuis le milieu des années 1980 l’une des plus importantes zones d’activités d’Europe qui finance en partie la communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise via la contribution économique territoriale (CET). La ville est également située au cœur de plusieurs réseaux ferroviaires (vers Creil au nord, Argenteuil et Paris au sud) avec plusieurs gares.
La ville au bord de l’Oise est parcourue par un affluent, le ru de Liesse, petit ruisseau qui traverse le parc de l’Abbaye de Maubuisson, et qui alimentait en eau potable l’ancien couvent.
Saint-Ouen-l’Aumône est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal. Cette aire regroupe 1 929 communes[5][6].
La rue du Général-Leclerc, située dans le prolongement du pont de Pontoise, est la rue commerçante traditionnelle et l’artère la plus animée de la ville.
En dehors du centre-ville, qui s’est développé sur l’emplacement de l’ancien faubourg de la Basse Aumône, aux portes du châtelet du pont de Pontoise puis de son octroi (place Carnot), existent les quartiers suivants :
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 10 169, alors qu’il était de 9 337 en 2013 et de 8 798 en 2008.
Parmi ces logements, 95,1 % étaient des résidences principales, 0,4 % des résidences secondaires et 4,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 30,9 % d’entre eux des maisons individuelles et pour 68,2 % des appartements.
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Ouen-l’Aumône en 2018 en comparaison avec celle du Val-d’Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (0,4 %) inférieure à celle du département (1,3 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d’occupation de ces logements, 47,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (52 % en 2013), contre 56 % pour le Val-d’Oise et 57,5 pour la France entière.
La ville est traversée principalement par l’ancienne route nationale 14 (RN 14) Paris-Rouen, d’est en ouest, devenue la RD 14.
Cette route a été supplantée par l’autoroute A15, traversant le territoire de la commune en limite sud, sur le même axe parallèle et dans la même direction que la route nationale.
Dans l’axe nord-sud, la ville est traversée par la RD 922. Elle a été supplantée par la Francilienne Nord et Ouest, permettant de rejoindre Roissy-en-France et l’aéroport international Paris-Charles-de-Gaulle situé sur cette commune sans traverser la Capitale. Elle permet également de relier les autoroutes A1 à la A16, la A15, la A13 et la A12. L’autoroute A16 et la route nationale permettent de rejoindre l’aéroport de Beauvais.
La ville possède plus de 13 kilomètres de pistes cyclables. Un dispositif de vélos en libre-service, VélO2, est proposé sur toute l’agglomération. Saint-Ouen l’Aumône dispose de deux stations : gare de Saint-Ouen l’Aumône centre et Place Carnot. Plusieurs formules d’abonnement à la journée, semaine ou longue durée[réf. nécessaire].
La commune est desservie par les lignes H et J, ainsi que par le RER C.
La ville possède cinq gares ferroviaires (ordre depuis Pontoise) :
Le réseau d’autobus de la Société de transports interurbains du Val-d’Oise (STIVO) dessert la commune avec ses lignes :
Autres lignes de bus :
Le nom a été emprunté à Saint Ouen (évêque de Rouen et conseiller de Dagobert I) en souvenir du passage de son corps, rapatrié de Clichy vers sa ville épiscopale de Rouen, dont la dépouille a reposé une nuit ici, le de l’an 683 ap. J.-C.
Quant à l’Aumône, près du pont, il s’agirait du nom de terres pouvant avoir été attribuées au quartier de la maladrerie Saint-Lazare au Moyen Âge, à quelques abbayes très anciennes, telles que Saint-Denis ou à quelque Hôtel-Dieu très ancien. Cette abbaye, fondée en 626, possédait de nombreuses terres sur la rive gauche de l’Oise.
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de L’Aumône-la-Montagne et de Montagne-sur-Oise.
Le village à l’origine de la ville fut fondé au point de rencontre entre le cours de l’Oise, le seul gué dans la région permettant de traverser à pied cette rivière, et la chaussée, voie romaine de Lutèce à Rotomagus (Rouen) et Jullibonna (Lillebonne) (près du Havre) via Saint-Denis, construite vers 360 ap. J-C.
À l’Aumône, quartier de la maladrerie Saint-Lazare au XII siècle, située sous l’actuelle clinique Sainte-Marie, en face de l’actuel Clos du Roy, ancien bâtiment de villégiature des rois, en particulier Louis IX dit Saint Louis et Henri IV, lors de leurs visites à l’abbaye, aujourd’hui disparue.
Toutefois, à partir de cette date et jusqu’au XVIII siècle, c’est du nom de Maubuisson qu’on désigne ce territoire. Mais dans les faits le village, dépendant politiquement et militairement de Pontoise, vit de l’activité économique et médicale que déploient les religieuses autour de Abbaye de Maubuisson, fondée par Blanche de Castille sous le nom d’abbaye royale Notre-Dame-la-Royale.
La commune est le regroupement de plusieurs lieux :
Pendant la Révolution, la commune est rebaptisée Montagne-sur-Oise et L’Aumône-la-Montagne avant d’être rattachée à Pontoise.
Dans le quartier d’Epluches se dresse un château qui vient d’être restauré dont la construction originale remonte à la deuxième moitié du XVIIe siècle.
Il était constitué à l’origine d’un grand corps de logis orienté vers la vallée de l’Oise et le plateau du Vexin et flanqué de deux ailes, et était entouré d’un petit parc débouchant sur une grande prairie.
Seule a été restaurée l’aile Sud, le reste ayant été détruit par un incendie durant la Première Guerre mondiale alors qu’il servait d’hôpital de convalescence pour les Armées alliées.
Le premier propriétaire connu était René Jacob qui après s’être enrichi avec l’affermage des greniers à sel fit l’acquisition de la seigneurie d’Epluches.
Le dernier seigneur d’Epluches était à la Révolution, Antoine André Michel Savarin de Marestan, capitaine de cavalerie, ancien mousquetaire du roi. Malgré son passé d’ancien seigneur d’Epluches et de cavalier dans la maison du roi, il deviendra commandant de la garde nationale de Saint-Ouen l’aumône pendant la Révolution et reniera ses titres de noblesse.
Ce dernier, qui avait ensuite accompagné le roi Louis XVIII pendant son exil à Gand durant les cent jours du retour de Napoléon 1 à Paris, reçut en retour du monarque l’autorisation de relever le titre de baron de Marestan.
Il cédera son château d’Epluches à Jean Baptiste Louis Desavenelle de Grand-Maison qui sera élu maire de Saint-Ouen-l’Aumône ultérieurement.
Dans la seconde moitié du XIX siècle, le bourg bénéficie de l’exode rural, mais surtout de la Révolution industrielle et, autour d’usines de menuiserie, de mécanique, de construction ferroviaire, de fabrication d’encre, de la féculerie et de la distillerie, voit sa population atteindre les 3 000 habitants peu avant la Première Guerre mondiale.
La ville a également bénéficié du développement précoce du chemin de fer avec la création par la compagnie des chemins de fer du Nord de la ligne Paris – Lille et Bruxelles, dès , et la construction près du hameau de Courcelles de la gare de Saint-Ouen-lès-Pontoise devenue la gare d’Épluches, puis de la création d’une seconde liaison ferroviaire vers Pontoise, Gisors et Dieppe à partir de 1863 avec la construction de la ligne d’Argenteuil à Pontoise puis sa prolongation jusqu’à Gisors en 1868 et Dieppe, et enfin la liaison directe entre Dieppe et Paris-Saint Lazare via Pontoise grâce à la création de la ligne d’Achères à Pontoise en 1877.
Ceci a permis aussi le développement important du maraîchage pour approvisionner les Halles de Paris et nourrir la capitale. D’où l’achat par le baron Haussmann préfet de Paris, sous le Second Empire de Napoleon III, de 2 000 hectares de terre à l’est de la commune sur le plateau de La Bonneville, à la limite entre les territoires de Méry-sur-Oise et la commune, pour, d’abord créer un gigantesque cimetière (projet abandonné sous la III République), et, finalement, créer la ferme modèle de la Haute-Borne au-dessus de la rive nord du ru du Fond de Vaux, établissement précurseur à l’origine de la création de l’INRA, l’Institut national de la recherche agronomique dont le siège est maintenant entre Rocquencourt et Bailly près de Versailles et des terres de l’arborétum du Château royal.
Avant la Seconde Guerre mondiale, la ville était partie intégrante de la Ligne Chauvineau, dernières défenses de la Grande Banlieue de Paris, construites en 1939 et en partie finalisées en . Plusieurs ouvrages défensifs (casemates) protégeaient les ponts contre des franchissements et des traversées trop facile de l’Oise.
Il y avait au moins quatre blocs sur le territoire de la commune :
Cette ligne de défense a été utile, voire partiellement efficace, et a subi une attaque extrêmement meurtrière au droit du barrage sur l’Oise situé à L’Isle-Adam et au niveau des îles situées entre cette commune et la ville de Parmain.
Pendant le conflit, la commune a subi :
Après la Seconde Guerre mondiale, plusieurs barres d’immeubles ont été construites pour faire face à la crise du logement, et ce mouvement s’est encore amplifié depuis les années 1970 avec la décision de créer une ville nouvelle à Cergy. Si cette initiative d’aménagement du territoire, destinée à désamorcer la croissance de Paris, a eu des effets bénéfiques sur le plan économique pour la ville, elle l’a en revanche durablement déséquilibrée sur le plan de la structure des quartiers, et Saint-Ouen-l’Aumône se cherche toujours un véritable centre-ville, malgré diverses tentatives depuis le début des années 1980, à la suite de la destruction de la mairie construite au début du XX siècle et le quartier de la Basse Aumône durant les années 1970.
Située à proximité de Paris, très confortablement desservie par plusieurs modes de transport, Saint-Ouen-l’Aumône verra probablement sa population continuer à s’accroître et dépasser les 25 000 habitants.[réf. nécessaire]
Antérieurement à la loi du , la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d’Oise et à son arrondissement de Pontoise après un transfert administratif effectif au . Pour l’élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription du Val-d’Oise depuis 1986.
La commune faisait partie de 1793 à 1973 du canton de Pontoise. Lors de la mise en place du Val-d’Oise, la commune devient le chef-lieu du canton de Saint-Ouen-l’Aumône. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais le bureau centralisateur de ce canton, qui s’est agrandi, passant de 2 à 12 communes.
La commune se trouve dans la ville nouvelle de Cergy-Pontoise, aménagée à partir de 1970 par un syndicat communautaire d’aménagement (SCA), puis, en 1984, par un syndicat d’agglomération nouvelle (SAN) créé en 1984.
L’aménagement de la ville nouvelle étant achevée, celui-ci se transforme en 2004 en communauté d’agglomération, qui a pris la dénomination de Communauté d’agglomération de Cergy-Pontoise et dont Saint-Ouen-l’Aumône est désormais membre.
Alain Richard, maire PS sortant, ancien ministre de la Défense (de à ), ancien vice-président de l’Assemblée nationale (de 1987 à 1988), ancien président de l’agglomération et ancien maître des requêtes au Conseil d’État (1971 à 1979), est réélu, pour un sixième mandat, dès le premier tour des élections municipales de .
Lors du premier tour des élections municipales de 2008, la liste PS – Union de la gauche menée par le maire sortant Alain Richard obtient la majorité des suffrages exprimés, avec3 509 voix -60,26 %, 29 conseillers municipaux élus), devançant très largement celles menées respectivement par :
– Véronique Pélissier (UMP-UDI, Union de la droite), 1 788 voix, 30,71 %, 5 conseillers municipaux élus) ;
– Nawal Ben Zemouri (Parti des travailleurs , 526 voix, 9,03 %, 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin, 49,03 % des électeurs se sont abstenus.
Lors des élections municipales de 2014 dans le Val-d’Oise, après un premier tour tendu, la liste PS-PCF-EELV menée par le maire sortant Alain Richard obtient la majorité des suffrages exprimés, avec 2 914 voix (45,97 %, 26 conseillers municipaux élus dont 6 communautaires), devançant largement les listes menées respectivement par ;
– Véronique Pelissier (UMP-UDI, 2 456 voix, 38,75 %, 7 conseillers communautaires élus dont 1 communautaire) ;
– Massoud Hadi (DVG, 968 voix, 15,27 %, 2 conseillers municipaux élus).
Lors de ce scrutin, 47,67 % des électeurs se sont abstenus.
Élu sénateur en , il est contraint par la loi limitant le cumul des mandats à la démission de ses mandats exécutifs locaux, et donc de celui de maire de Saint-Ouen-l’Aumône, aboutissant à l’élection comme maire de Laurent Linquette en [12] .
Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans le Val-d’Oise, la liste PS menée par le maire sortant Laurent Linquette obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 863 voix (50,46 %, 27 conseillers municipaux élus dont 6 communautaires), devançant largement les listes menées respectivement par[14] :
– Véronique Pélissier (LR, 1 325 voix, 35,88 %, 6 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires) ;
– Sylvain Berthe (DVG, 504 voix, 13,65 %, 2 conseillers municipaux élus).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 69,97 % des électeurs se sont abstenus.
En 2015, la ville a obtenu sa première fleur au concours national des villes et villages fleuris. Un prix qui vient notamment récompenser la richesse du patrimoine vert et la diversité du fleurissement sur la commune.
Saint-Ouen-l’Aumône dispose de trois crèches collectives (les Oursons, le Crocodile bleu et le Saut du Loup) et d’une crèche familiale. Il existe aussi un Relais Assistants Maternels (RAM) et un lieu d’accueil enfants/parents (LAEP). Les inscriptions en établissements d’accueil petite enfance se font sur rendez-vous, à partir du troisième mois de grossesse.
Saint-Ouen-l’Aumône dispose de 8 établissements d’enseignement primaire (Matisse, Prairie, Jean-Effel, Prévert, Le-Nôtre, Liesse, Bourseaux, Jean-Jacques-Rousseau), deux collèges (Marcel-Pagnol et Le Parc) ainsi que trois lycées (lycée polyvalent Edmond-Rostand, lycée technique Jean-Perrin, lycée des métiers de l’automobile et du transport du Château d’Épluches).
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d’une enquête par sondage auprès d’un échantillon d’adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans,
En 2019, la commune comptait 24 674 habitants, en augmentation de 4,1 % par rapport à 2013 (Val-d’Oise : +4,6 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
Saint-Ouen-l’Aumône est une ville jeune : 75 % de sa population a moins de 45 ans.
La plupart des sports de la ville sont regroupés dans l’Association sportive de Saint-Ouen-l’Aumône (ASSOA) :
D’autres clubs sportifs de Saint-Ouen-l’Aumône ne font pas partie de l’ASSOA parmi lesquels les Cougars de Saint-Ouen-l’Aumône qui évoluent en 1 Division française de Football Américain. Terrain : stade Escutary et ponctuellement Le parc des Sports.
Le club de rugby de l’AS Saint-Ouen-l’Aumône a fusionné il y a plusieurs saisons avec celui du RC Pontoise-Cergy pour former aujourd’hui le Racing club de l’agglomération de Cergy-Pontoise (RCACP), qui évolue en 2011-2012 en Honneur Île-de-France.
La ville est dotée du plus grand regroupement de PME-PMI d’Europe, avec un ensemble de quatre parcs d’activités des Béthunes, des Bellevues, d’Épluches et du Vert-Galant comptant 700 entreprises et couvrant près de 600 hectares soit 40 % du territoire de la commune. L’activité portuaire (trafic de céréales) bénéficie plutôt à Saint-Ouen-l’Aumône qu’aux autres communes de l’agglomération de Cergy-Pontoise.
Saint-Ouen-l’Aumône compte cinq monuments historiques sur son territoire, dont trois sont classés au même titre que l’abbaye de Maubuisson : la grange aux dîmes et le ponceau.
À cette époque, l’église est lourdement restaurée, et si la restauration est heureuse pour le portail, elle reste inachevée dans le transept, et le chœur gothique est démoli pour être remplacée par une nouvelle structure en 1837. L’église Saint-Ouen n’est donc pas un édifice homogène, mais ses différentes parties s’accordent harmonieusement, et son intérêt archéologique est indéniable. Aujourd’hui, l’église Saint-Ouen demeure le principal lieu de culte catholique de la commune, et sa vie spirituelle est intense avec plusieurs messes en semaine, et des messes dominicales tout au long de l’année.
On peut également citer :
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