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Vous avez repéré une fuite qui vient de votre toit ? Vos tuiles sont cassées et vous cherchez une entreprise de réparation de toiture à Saint-Brice-sous-Forêt ? Richard Couverture s’occupe de tout type de toiture et vous apporte des solutions adaptées à vos problèmes de toiture, quel que soit le matériau dans lequel il a été conçu à Saint-Brice-sous-Forêt dans le Val-d’Oise.
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Vous avez découvert que votre couverture nécessite une remise en état à Saint-Brice-sous-Forêt ? Vous ne savez pas comment fixer ce problème ? Vous prévoyez des services de couverture ? Soyez rassuré, nous sommes le couvreur à Saint-Brice-sous-Forêt qu’il vous faudra !
Avant d’entretenir une réparation de toit, notre couvreur doit débuter par détecter l’origine des dégâts, celle-ci peut être trop variée. Le couvreur va ainsi entreprendre une vérification visuelle de votre revêtement par l’intérieur afin de repérer les coins où il n’y a pas des ardoises ou tuiles. Après, il grimpera sur votre toit pour un constat plus précis de ce recouvrement. A partir de ce diagnostic, il vous dira les détails des travaux de réparation de toiture à Saint-Brice-sous-Forêt qu’il peut mener pour garantir son étanchéité. Et ensuite, il vous remettra un devis de réparation de couverture à Saint-Brice-sous-Forêt. En conséquence après votre approuvement, nous pourrons débuter les interventions.
La réfection de toiture se fait d’une manière intégrale si elle est entièrement à refaire. Cela peut être le cas si elle est trop vieille ou suite à des catastrophes naturelles. Dans cette circonstance, vous serez contraint de recourir à votre compagnie d’assurance. Notre société de couverture sur Saint-Brice-sous-Forêt
met donc en place un système de protection d’urgence qui permet de couvrir votre toiture de façon provisoire en attendant de pouvoir réinstaller votre toit dans son intégralité.
Dans le cadre d’une rénovation de toit à Saint-Brice-sous-Forêt
partielle, la remise en état ordinaire est la rechange de tuiles que ce soit parce qu’elles se sont envolées ou parce que d’autres ont été cassées. Le remplacement de tuiles fait l’objet d’une règle précise bien connue par notre spécialiste couvreur qui saura toutes les mesures indispensables pour enlever la tuile à remplacer et mettre en place la nouvelle tuile en la mettant efficacement à l’ensemble pour que le tout devienne dur et hermétique.
Vous retrouverez à la pointe de votre toiture une ligne de tuiles dénommée faîtage. La remise à neuf de toiture concerne ce dernier quand il est endommagé ou qu’il qu’il bouge en cas de vent. Notre couvreur dans la ville de Saint-Brice-sous-Forêt a des suggestions à vous proposer pour que cela ne se reproduise plus.
Par ailleurs, en plus du changement de tuiles, la réparation de toiture sur Saint-Brice-sous-Forêt
pourra également toucher les éléments posés sur la toiture. C’est dans ce cadre que notre agence de revêtement de toiture peut effectuer la modernisation d’une couche de cheminée, colmater une fuite sur celle-ci ou encore rétablir l’étanchéité lorsque elle est remise en cause par une insuffisante connexion entre la fenêtre de toit ou entre des panneaux solaires et la tuile. Il réalisera tous les services de zinguerie indispensables.
Une fois que votre toit vieillit, appelez notre entreprise de couverture de sorte que les services soient terminés au plus vite. Cela vous évitera de vous procurer d’une facture de remise en état de toiture sur Saint-Brice-sous-Forêt avec un prix trop cher !
Saint-Brice-sous-Forêt est une commune française située dans le département du Val-d’Oise en région Île-de-France.
À 17 kilomètres au nord de Paris, la commune de Saint-Brice-sous-Forêt est située à l’ouest de la plaine de France, à l’orée de la forêt de Montmorency.
Saint-Brice est desservie :
La ville de Saint-Brice-sous-Forêt peut être divisée en différents quartiers :
Saint-Brice-sous-Forêt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal. Cette aire regroupe 1 929 communes[6][7].
Attestée sous la forme Sanctus Bricius en 1124 .
Le nom de la commune provient du saint éponyme, successeur de saint Martin à l’épiscopat de Tours en 397, ou de Bricta, déesse gauloise des sources.
Sous la Révolution, la commune prend le nom de Brice libre.
C’est dans un document de 1125, où Mathieu le Bel, futur seigneur de Villiers, énumère ses possessions, que le nom de Saint-Brice apparaît pour la première fois.
Le village faisait partie de la seigneurie des Montmorency au XIII siècle. Ils y ont droit de haute, moyenne et basse justice et aussi un droit de prélèvement sur les poissons de mer transitant par le bourg vers Paris, droit confirmé le par le parlement de Paris[10]
Mais en 1632, Henri II de Montmorency, coupable d’avoir conspiré contre le roi Louis XIII, est décapité en place publique à Toulouse. Ses biens sont dévolus à sa sœur, Charlotte — la femme de Henri II de Bourbon-Condé —, puis du comte de Vienne, brigadier des armées du roi au XVIII siècle. La communauté villageoise compte à cette époque environ 171 foyers c’est-à-dire 800 habitants, vivant pour la plupart de l’agriculture et, en complément, de la fabrication de dentelle alors florissante dans la région. La vigne représentait la principale activité agricole. Saint-Brice présentait déjà son double aspect résidentiel et rural. Les belles propriétés jouxtaient des vignobles. Le travail à domicile de la dentelle constituait une importante source de revenus pour la commune.
La Révolution française amena son lot d’enthousiasme et également d’excès. Malgré les protestations des villageois, Jean-Louis Loiseau de Béranger, le généreux propriétaire du château de Saint-Brice fut guillotiné en tant que fermier général.
L’Empire, puis la Restauration, amenèrent un certain nombre de notables dans la commune. C’est ainsi que Talleyrand, ministre de Napoléon, fut propriétaire, du au , du château de Loiseau de Béranger où il séjourna avec la duchesse de Dino, épouse de son neveu (il n’en reste que les écuries, remarquablement restaurées en 1975, et le parc).
Au XIX siècle, Saint-Brice, proche de Paris, devint un lieu de villégiature très recherché. À la fin du siècle, on comptait 27 belles propriétés. La plupart existent encore et donnent à la ville son charme et sa verdure. Saint-Brice devint alors une bourgade agricole et prospère et le restera jusqu’à la Première Guerre mondiale (1914-1918).
Pendant la guerre franco-allemande de 1870, la commune, abandonnée par ses édiles, dut sa survie au dévouement sans faille et à la sagesse de son curé, l’abbé Louis Salati, qui, au péril de sa vie, assuma les fonctions de maire sans en avoir le titre.
Vers 1935, on observe une mutation agricole : les terres maraîchères laissent la place à l’arboriculture. On remarque alors que 80 % des terres disponibles sont plantées en poiriers dont les fruits étaient très prisés sur les marchés. La population à cette époque était de 2 700 habitants environ. L’activité agricole demeurait importante, la région constituant une réserve maraîchère : choux-fleurs, petits pois, poires, pommes, fraises.
En 1877, la gare de Sarcelles – Saint-Brice est mise en service par la compagnie des chemins de fer du Nord sur la Ligne de Paris au Tréport – Mers. Elle s’appelle Sarcelles-Saint~Brice, malgré un usage qui donne à la commune propriétaire du terrain le droit de figurer en tête du nom. Le chemin de fer va révolutionner la vie du village : les Parisiens viennent de plus en plus nombreux passer le dimanche à la campagne et les cultivateurs ont de nouvelles possibilités pour expédier leurs fruits et légumes. En 1907, la seule gare de Sarcelles-Saint~Brice expédie 140 wagons de poireaux par mois dans les centres du Nord : Lille, Roubaix, Valenciennes, Cambrai…
Pendant la Première Guerre mondiale, Saint-Brice n’était pas très éloignée du front. Les grandes propriétés accueillaient des soldats pendant leurs permissions. Mais le village se trouvait sur la trajectoire de la Grosse Bertha. L’heure n’était plus à la villégiature. Les difficultés apparurent : réquisitions, restrictions, manque de main d’œuvre… Comme partout en France, les femmes et les enfants prirent la place des hommes dans les champs.
Cinquante-cinq Saint-Briciens périrent durant ce conflit. Après 1918, bien des fortunes locales s’étaient amoindries ou avaient changé de mains et de grandes propriétés furent morcelées pour laisser place aux premiers lotissements : le Clos du Château, le Parc de Mauléon, le Clos Béranger… Saint-Brice vécut sa première grande urbanisation juste après cette guerre. La commune comptait 2 500 habitants en 1931.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, Saint-Brice ne subit que deux brèves occupation allemandes, lors de la bataille de France en juin- et en . Les chars de la 2e division de blindés, dirigés par le général Leclerc, traversèrent Saint-Brice par l’avenue du Général-de-Gaulle. (Une plaque commémorative rappelle l’évènement)
C’est à partir des années 1960 que la commune va connaître un développement urbain régulier avec la multiplication des résidences et des lotissements, et l’aménagement de zones industrielles et commerciales.
Au XXI siècle, Saint-Brice, avec ses 16 690 habitants en 2010 garde son double visage de ville nouvelle très équipée et de village ancien soucieux de garder son patrimoine architectural, son âme, son histoire et sa verdure.
Antérieurement à la loi du , la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d’Oise et à son arrondissement de Sarcelles, après un transfert administratif effectif au .
Pour l’élection des députés, la ville fait partie de la septième circonscription du Val-d’Oise.
Saint-Brice faisait partie de 1801 à 1964 du canton d’Écouen, année où il est rattaché au canton de Sarcelles-Centre de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d’Oise intègre en 1967 le canton de Domont, puis, en 1976, le canton de Sarcelles-Saint-Brice, et enfin en 1985 au canton d’Écouen. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie le canton de Deuil-la-Barre.
Saint-Brice-sous-Forêt fait partie de la juridiction d’instance de Gonesse (depuis la suppression du tribunal d’instance d’Écouen en ), et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[14][15].
Saint-Brice-sous-Forêt était membre fondateur de la communauté de communes de l’Ouest de la Plaine de France (CCOPF) .
Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l’intercommunalité à l’ensemble des communes et la création d’intercommunalités de taille importante, celle-ci a fusionné avec sa voisine pour former, le pour former la Communauté d’agglomération Plaine Vallée, dont est désormais membre la commune.
Au premier tour des élections municipales de 2014 dans le Val-d’Oise, la liste UMP-UDI menée par le maire sortant Alain Lorand obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 3 055 voix (68,79 %, 28 conseillers municipaux élus, dont 9 communautaires), devançant largement celle PS menée par Didier Arnal, qui a obtenu 1 386 voix (31,20 %, 5 conseillers municipaux élus, dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin, 48,35 des électeurs se sont abstenus.
Pour les municipales de 2020, le maire sortant Alain Lorand (RPR, puis UMP et enfin UDI, élu dès le 1 tour en 2014) avait dans un premier temps annoncé qu’il se représenterait malgré son âge avancé (82 ans en 2019), faute d’avoir trouvé un successeur — ce qui avait provoqué une crise dans la municipalité — puis annoncé son retrait au profit de Jean-Pierre Yalcin, ancien membre de LR[17].
La liste que ce dernier menait est arrivée légèrement en tête au premier tour, mais, avec 39,06 % des suffrages exprimés (1 175 voix), a été battue par celle menée par Nicolas Leleux (LREM) au second tour (44,05 %, 1 325 voix), suivies par la liste menée par Marc Guyot (Div. C., 16,89 %, 508 voix).
Lors de ce scrutin, marqué par la crise de la pandémie de Covid-19 en France, 64,70 % des électeurs se sont abstenus.
Ces résultats, contestés par Jean-Pierre Yalcin, ont été confirmés en mars 2021 par le tribunal administratif de Cergy, qui a confirmé l’élection municipale de 2020.
La ville s’investit en faveur du don du sang en soutenant l’association Amicale pour le don de sang bénévole de Sarcelles Saint-Brice. Cela se traduit par la mise à disposition d’un lieu de collecte de qualité et facile d’accès : l’école Jean de la Fontaine. La ville s’est vue ainsi remettre, en 2014 et 2015 (pour les années 2013 et 2014), par l’Établissement français du sang, le cœur collecte du label Commune Donneur (et elle l’obtient chaque année depuis). La ville a décroché un deuxième cœur du label en 2016 (pour l’année 2015) et elle l’obtient chaque année depuis : le cœur communication, qui récompense la pédagogie et l’information des citoyens sur le don de sang.
En 2011, la ville a reçu pour la première fois un prix pour sa participation au Concours départemental des villes, villages et maison fleuris : le prix de la protection des ressources naturelles. Ce prix récompense les personnes ayant travaillé pour une gestion économique de l’eau, une gestion intelligente de l’énergie et des déchets verts ainsi qu’une valorisation de la biodiversité. En 2012, la ville a maintenu ce prix et en a reçu un second, celui du cadre végétal. En 2013, la Ville a reçu le prix d’excellence[réf. nécessaire]. Elle a obtenu sa première fleur en 2014. En 2021, Saint-Brice-sous-Forêt est couronnée d’une seconde fleur [27].
Le Saint-Brice magazine a reçu le prix de l’éco-conception au Grand prix de la presse municipale 2018. Cette distinction récompense l’engagement durable et l’impact des actions sur l’environnement. Le magazine est considéré comme la référence en la matière puisqu’il est au maximum de tous les critères pris en compte :
Saint-Brice-sous-Forêt est labellisée « Ville Active & Sportive ». Après avoir obtenu un premier laurier pour 2017-2018, elle a décroché un deuxième laurier pour 2019-2021.
En 2011, après avoir signée la charte de la Biodiversité, la Ville s’est engagée dans l’élaboration d’Agendas 21 et 22. Il s’agit d’un programme d’actions locales visant le développement durable sur 2013-2020.
La commune est jumelée avec le quartier de Devínska Nová Ves, de la ville de Bratislava, en Slovaquie.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d’une enquête par sondage auprès d’un échantillon d’adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans,
En 2019, la commune comptait 15 043 habitants, en augmentation de 4,52 % par rapport à 2013 (Val-d’Oise : +4,6 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
L’enseignement à Saint-Brice dépend de l’académie de Versailles.
Il y a 9 établissements scolaires sur le territoire de la commune :
Les écoles maternelles portent les noms d’Alphonse Daudet, Charles Perrault/Hans Andersen, Jean Charron et Léon Rouvrais.
Les écoles primaires portent quant à elles les noms d’Antoine de Saint-Exupéry, Jean de La Fontaine, Jules Ferry, Pierre et Marie Curie.
Le collège L’Ardillière de Nézant accueille les élèves de Saint-Brice et parfois ceux de Groslay, commune proche de l’établissement. Le collège est situé dans le quartier du clos du château. Il touche la D 125. Il compte environ 700 élèves.
La commune ne possède pas de lycée sur son sol. Les lycées les plus proches sont le lycée Camille Saint-Saëns situé à Deuil-la-Barre (rue Guynemer), le lycée Jean-Jacques Rousseau situé à Montmorency (2, rue Jaigny) ou le lycée-collège Le Saint Rosaire situé à Sarcelles.
L’établissement supérieur privé Compta-Sup Marketing/C.E.F.I.G.O, situé à côté du collège de Nézant, propose quant à lui des formations permettant d’obtenir le bac STG, les BTS NRC, MUC, Professions Immobilières, Assistant de Manager, Assistant de gestion PME/PMI, Notariat (Bac+2), un cursus comptable complet : DCG (Bac+1), BTS Comptabilité et Gestion des Organisations (Bac+2), le DEES (Bac+3), le Master (Bac +5).
Le théâtre de l’ouest de la Plaine de France Silvia Monfort, d’une capacité d’accueil de 460 places, propose une programmation pluridisciplinaire qui s’adresse à tous les publics. Il est situé à l’intérieur du Centre culturel et sportif Lionel Terray mais dépend de la communauté d’agglomération Plaine Vallée.
Ce centre comprend :
La municipalité de Saint-Brice a ouvert une ludothèque dans le quartier des Vergers.
Située dans le quartier des Vergers, la bibliothèque propose de nombreuses animations comme le Festival du conte, le club lecture, l’apéro-graines…
Des locaux sont présents dans la ville pour permettre la pratique des sports. La municipalité a inauguré en une salle multisports Colonel-Arnaud-Beltrame qui permet la pratique des arts martiaux.
Liste des arts martiaux sur la ville :
La ville compte un dojo au COSEC.
Sur l’impulsion du maire, la ville accueille dès 2004 des maîtres japonais venus enseigner l’art du sabre (kenjutsu) de Miyamoto Musashi aux pratiquants français et européens de 10 nationalités. Le Grand-maître Iwami Toshio revient en 2005[34] et 2011 pour des stages internationaux. Depuis, des cours de Hyoho Niten Ichi Ryu ont régulièrement lieu sous l’autorité de Nguyen Thanh Thien, représentant pour la France[36] de cette école traditionnelle japonaise. La ville est le berceau du développement français et européen de l’art du sabre du plus fameux samouraï du Japon.
En , la Ville organise un Gala des Arts Martiaux qui a été l’occasion d’unir les membres des associations d’arts martiaux présents à Saint-Brice-sous-Forêt en une soirée qui a réuni un public de plus de cinq cents personnes.
La brocante annuelle de Saint-Brice se déroule le dernier week-end de juin. Cette brocante est organisée par le club de football de la ville.
La Ville organise tous les ans son marché de Noël. Il est toujours le deuxième week-end de décembre et dure deux jours.
Plusieurs communautés religieuses sont présentes à Saint-Brice. La ville possède des lieux de cultes différents pour les catholiques et les israélites.
Les israélites disposent de deux synagogues : La synagogue Ohel Abraham et le Beth Habad[38] ainsi que d’un centre communautaire et d’un mikvé[40].
Le cimetière de Saint-Brice se trouve rue de Paris au nord de la ville, près de la ZAC des Perruches.
La population active en 2015 est de 7 245 individus, dont 6 343 actifs ayant un emploi.
La ville compte plus de 3000 emplois en 2015 :
En 2015, la commune compte 1 110 entreprises dont :
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 38 137 €, ce qui plaçait Saint-Brice-sous-Forêt au 3 659 rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[42].
Saint-Brice-sous-Forêt dispose de trois zones d’activités commerciales et d’artères commerçantes dans la rue de Paris, rue de Montmorency, place de la Gare.
Il existe également un marché couvert, près de l’église sur la place Gallieni.
Saint-Brice-sous-Forêt compte trois monuments historiques sur son territoire :
On peut également signaler :
Le scénariste et dialoguiste Henri Jeanson a vécu à la Tour de Nézant à partir de 1939 avec la comédienne Marion Delbo. Il y fut arrêté par la Gestapo en 1942. Son épouse, Marion Delbo, comédienne, y résida jusqu’en 1961. Elle y reçut Marie-Laure de Noailles, Georges Auric, Jean Cocteau, Léonord Fini… Hélène Duc, la célèbre Mahaut d’Artois de la série télévisée « Les rois maudits », inspirée de l’ouvrage de Maurice Druon, y séjourna aussi de 1952 à 1958.
L’actrice Gisèle Casadesus était, par ailleurs, mariée à Lucien Pascal, originaire de Saint-Brice-sous-Forêt.
Plusieurs films ont été tournés à Saint-Brice. On peut citer notamment :
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