- Val d'Oise (95)
Menu
Vous avez repéré une fuite qui vient de votre toit ? Vos tuiles sont cassées et vous cherchez une entreprise de réparation de toiture à Pierrelaye ? Richard Couverture s’occupe de tout type de toiture et vous apporte des solutions adaptées à vos problèmes de toiture, quel que soit le matériau dans lequel il a été conçu à Pierrelaye dans le Val-d’Oise.
Nous contacter
Vous avez trouvé que votre couverture nécessite une remise en état à Pierrelaye ? Vous ne savez pas comment fixer ce problème ? Vous envisagez des prestations de couverture ? Pas de panique, notre entreprise est le couvreur à Pierrelaye qu’il vous faudra !
Avant d’effectuer une réfection de toiture, notre spécialiste couvreur doit commencer par diagnostiquer la cause de l’usure, celle-ci peut être trop différente. L’artisan couvreur doit donc faire un contrôle visuel de votre toit par l’intérieur en vue de situer les coins où il n’existe pas des ardoises ou tuiles. Puis, il se rendra sur votre toit pour effectuer une vérification approfondie de cette couverture. A partir de cette évaluation, il pourra vous dire la liste des travaux d’entretien de toiture à Pierrelaye qu’il doit réaliser pour rétablir son imperméabilité. Puis, il vous établira un devis de réparation de couverture à Pierrelaye. Après si vous consentez, nous pourrons démarrer la mission.
La réfection de toiture est complète si elle est entièrement à remplacer. Cela peut se produire lorsqu’elle est très ancienne ou suite à des dangers climatiques. Dans ce cas, ce sera mieux de consulter votre maison d’assurance. Notre entreprise de couverture sur Pierrelaye
pose un système de protection d’urgence qui permet de couvrir votre toit de façon temporaire en attendant de pouvoir réinstaller votre toit complètement.
Dans le cas d’une réfection de toit à Pierrelaye
partielle, la réfection usuelle est le changement de tuiles que ce soit parce qu’elles se sont enlevées ou puisque d’autres ont été cassées. Le remplacement de tuiles est soumis à une procédure définie parfaitement connue par notre professionnel en couverture qui connaitra toutes les précautions appropriées pour retirer la pièce à remplacer et fixer la nouvelle tuile en l’intégrant d’une manière sûre à l’ensemble de sorte que le tout devienne dur et imperméable.
Vous retrouverez à la pointe de votre toiture une ligne de tuiles appelée faîtage. La remise à neuf de toit peut toucher celui-ci quand il est abîmé ou qu’il se soulève en cas de vent. Notre couvreur dans la ville de Pierrelaye a des solutions à vous proposer afin que cela ne revienne plus.
Par ailleurs, outre le remplacement de tuiles, l’entretien de toiture sur Pierrelaye
s’étend aux éléments qui se trouvent sur la toiture. Dans ce cadre notre société de couverture peut mener à bien la rénovation d’une souche de cheminée, colmater une fuite sur celle-ci ou encore rétablir l’étanchéité lorsque celle-ci est menacée par une défectueuse jonction entre la fenêtre de toit ou entre des panneaux photovoltaïques et la toiture. Il réalisera tous les chantiers de zinguerie indispensables.
Une fois que votre toiture vieillit, appelez notre société de revêtement de toiture de manière que les projets soient effectués dans le plus bref délai. Cela vous évitera d’avoir une facture de remise en état de toit sur Pierrelaye avec un chiffre véritablement supérieur !
Pierrelaye est une commune française située dans le département du Val-d’Oise en région Île-de-France.
Ses habitants sont les Pierrelaysien(ne)s.
Pierrelaye est une commune périurbaine située à 23 km au nord-ouest de Paris, à 5 km au sud-est de Pontoise.
Elle est desservie par l’autoroute A15 et traversée par l’ancienne route nationale 14.
La gare de Pierrelaye est desservie par la ligne H ainsi que le RER C.
Pierrelaye est traversé par la Chaussée Jules César
Pierrelaye est parcouru par le ru de Liesse où se trouve sa source.
La commune est limitrophe de Saint-Ouen-l’Aumône, Méry-sur-Oise, Bessancourt, Beauchamp, Montigny-lès-Cormeilles et Herblay-sur-Seine.
« Le cœur de l’ancien village se concentrait au sud de la chaussée Jules-César (rue Victor-Hugo), entre la rue Léon-Pelouse et la place de la Croix. Au nord de la route, le château du XVIII siècle donnait sur un vaste parc[1] ».
Pierrelaye est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,.
Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal. Cette aire regroupe 1 929 communes[5][6].
Le nom de la localité est attesté sous les formes Petra lata vers 1205, Pierre Laye en 1125[8], Pierre-laie en 1754.
Forme de la langue d’oïl, composé de pierre + lée (issu du latin lata « large »), signifiant « pierre large », pour désigner habituellement un dolmen.
Des travaux ont permis de découvrir en 1901, lors du creusement du drain de Liesse, les vestiges d’une nécropole gauloise de La Tène. Les tombes contenaient entre autres des parures en bronze (torques, colliers, bracelets, fibules). D’autres fouilles intervenues en 2002 ont permis de découvrir des éléments datables de la Tène finale
Le village est né sur la voie romaine dénommée chaussée Jules César, qui reliait Lutèce à la mer. En 1879, des monnaies romaines ont été trouvées et, en 1882, de grandes bornes gravées, « en forme d’obélisque », ont été repérées au bord de la chaussée Jules-César.
Il n’a pas été découvert de vestiges attribuables à l’antiquité tardive ou à l’époque carolingienne..
À l’époque féodale, le fief est une possession des religieux de l’abbaye de Saint-Denis : dès 1125, .Mathieu le Bel rend l’hommage féodal à l’abbaye, et, au XIII siècle, plusieurs seigneurs portant le nom de Petra lata étaient vassaux de ce monastère ou des Montmorency[1].
L’église Saint-Jean-Baptiste est érigée en église paroissiale dès le XIII siècle.
Le sol composé exclusivement de plusieurs variétés de sables, ne produisait que du seigle et du bois de bouleau. Les habitants s’étaient alors spécialisés dans la fabrication des balais. Malgré une grande qu’une partie du territoire était infructueux ou stérile, la commune produisait quelques vignes sur la partie jouxtant Saint-Ouen-l’Aumône. En 1750, l’Abbé Lebeuf décrit donc les terres pauvres et couvertes de bois de Pierrelaye.
Au XVII siècle est créée la route royale de Paris à Rouen, qui deviendra la RN 14, permettant la création d’une petite agglomération au niveau de la Patte d’Oie d’Herblay. Le village de Pierrelaye est alors trouve excentré par rapport à cette route et le reste jusqu’à la fin du XIXe siècle. Le territoire de l’actuelle commune est essentiellement boisé jusqu’au XVIII siècle, époque où ont lieu de grands défrichements. L’élevage des moutons était aussi pratiqué. Sous Louis XIV, Pierrelaye compte 320 habitants. En 1733 Pierrelaye emploie son premier maître d’école[10].
Un moulin à vent se dressait près de l’angle de la rue d’Herblay avec l’avenue du Général-Leclerc.
Essentiellement consacrée à la culture maraîchère, la commune connait un certain désenclavement au XIX siècle, avec l’arrivée du chemin de fer reliant Paris à la frontière belge. La ligne est achevée en 1846, mais la gare de Pierrelaye n’est ouverte qu’en 1881 vu l’opposition de certains habitants qui, assurant les transports, craignaient de voir disparaître leur clientèle. On raconte qu’ils venaient, la nuit, enlever les traverses du chemin de fer posées la veille. En 1848 est créée la rue Georges Boucher, qui relie le bourg à la route royale. La création de la gare favorise le développement agricole de la commune car les maraîchers peuvent désormais expédier facilement leur production vers Paris[11].
L’Hôtel-de-Ville est construit en 1901, et le groupe scolaire Jean-Nicolas Leveau en 1934.
En 1960, la SA HLM « Le Foyer pour Tous » réalise à la demande de la municipalité un programme de 140 logements collectifs sociaux répartis au niveau de la Place de la Gare et au niveau du quartier des Petits Bois, suivis en 1972 d’un programme résidentiel de 380 logements au niveau du Clos Saint Pierre, et du lotissement des terrains non irrigables, qui accueillent des pavillons. L’urbanisation se poursuit dans les années 1980, accompagnée de la création de nouveaux équipements comme la protection maternelle et infantile (PMI), de nouvelles écoles et une salle polyvalente.
Le schéma directeur d’aménagement et d’urbanisme (SDAU) de la ville nouvelle de Cergy-Pontoise limite le développement de Pierrelaye, considéré comme un réservoir de terres agricoles et d’espaces verts.
La plaine où se situaient les cultures maraîchères est, durant une centaine d’années, amendée par l’épandage des eaux usées de Paris puis du SIAAP. À l’issue de ces années, le site est déclaré multi-pollué,. La constitution sur cette plaine d’une forêt de 1 350 hectares et d’un million d’arbres est envisagée, qui doit s’étendre également sur les communes voisines[15].
Une importante zone d’activité commerciale s’étend à compter des années 1980 sur la Patte d’Oie d’Herblay, en partie sur le territoire de la commune, le long de l’ex-RN 14 (actuelle RD 14), et l’urbanisation se poursuit dans le centre-ville et le long de la route de Bessancourt, accompagnée de la création de nouveaux équipements (tennis couverts, parc des sports, écoles, extension des services techniques, salles municipales, bibliothèque, crèche, halte-garderie, centre de loisirs, gymnase…).
Antérieurement à la loi du , la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d’Oise et )à son arrondissement de Pontoise après un transfert administratif effectif au .
Pour l’élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription du Val-d’Oise.
Elle faisait partie de 1806 à 1967 du canton de Pontoise du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d’Oise, elle est rattachée en 1967 au canton de Saint-Ouen-l’Aumône puis, en 1976, au canton de Beauchamp. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Taverny.
Pierrelaye fait partie du ressort du tribunal d’instance de Montmorency, et de celle du Tribunal judiciaire ainsi que de celle du tribunal de commerce de Pontoise,.
La commune était membre de la communauté d’agglomération du Parisis, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2005 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales..
Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l’intercommunalité à l’ensemble des communes et la création d’intercommunalités de taille importante en seconde couronne afin de pouvoir dialoguier avec la métropole du Grand Paris créée par cette même loi, cette intercommunalité fusionne avec ses voisines pour former, le , la communauté d’agglomération Val Parisis dont est désormais la commune.
La communauté d’agglomération Val Parisis et les communes de Méry-sur-Oise et de Saint-Ouen-l’Aumône se sont associées en 2014 au sein du syndicat mixte pour l’aménagement de la plaine de Pierrelaye – Bessancourt autour d’un projet de nouvelle forêt afin de permettre la plantation de variétés particulières d’arbres (hêtre, chêne…) capables d’absorber le CO² sur les terrains pollués de la plaine de Pierrelaye. À raison de 100 hectares par an, la forêt pourrait être terminée d’ici à 2050.
Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans le Val-d’Oise, la liste PS-PCF-EELV menée par le maire sortant Michel Vallade remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 523 voix (59,09 %, 24 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement par :
– Éric Bosc (UMP, 821 voix, 31,85 %, 4 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire) ;
– Jocelyne Binet (DVD, 233 voix, 9,04 %, 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin, 45,49 % des électeurs se sont abstenus.
Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans le Val-d’Oise, la liste d’union de la gauche menée par le maire sortant Michel Vallade remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 298 voix (64,9 %, 24 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires), battant très largement la liste DVD menée par Éric Bosc (LR – Union de la droite, 702 voix, 35,10 %, 5 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 61,02 % des électeurs se sont abstenus[22][23].
Le groupe scolaire Louise-Michel de 11 classes se rajoute aux équipements existants en 2018 afin d’accompagner la croissance du quartier du Bocquet,.
Pour le second degré, les enfants de la commune disposent du collège du Petit-Bois à Pierrelaye, qui bénéfie d’une extension pour pouvoir accueillir 450 élèves à la rentrée 2019-2020
En 2018, la commune accueille quatre médecins, mais trois ont l’âge de partir rapidement en retraite, et la municipalité craint que la commune ne devienne un désert médical, alors que l’agence régionale de santé refuse de classer la ville dans les zones prioritaires où l’installation de professionnels de santé est aidée,.
L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].
En 2019, la commune comptait 9 423 habitants, en augmentation de 15,11 % par rapport à 2013 (Val-d’Oise : +4,6 %, France hors Mayotte : +2,17 %).
On peut signaler :
Richard Couverture vous propose de multiples services dans le Val d’Oise (95). Découvrez ici quelques chiffres à propos de notre entreprise.
Richard Couverture, en tant qu’artisan couvreur dans le Val d’Oise, installé à Gonesse (95500) dans le Val d’Oise (95) interviennent rapidement sur toute partout dans le 95 et autour de Gonesse pour tous vos projets de rénovation de toit, réparation de toiture, recherche de fuites, étanchéité de toiture, pose de velux, isolation, charpente, démoussage, traitement, pose de gouttière, intervention en urgence etc… Nous sommes disponibles partout dans le Val d’Oise, à Saint-Leu-la-Forêt, Taverny, Le Plessis-Bouchard, Enghien-les-Bains, Soisy-sous-Montmorency, Saint-Prix et toutes les plus grandes villes du Val d’Oise. N’hésitez pas à nous consulter !
Les artisans couvreurs de Richard Couverture situé à Gonesse (95500) interviennent rapidement sur tout le Val d’Oise (95) pour tous vos travaux de toiture, zinguerie, étanchéité, pose et réparation. Nos spécialistes sont équipés de tout le matériel nécessaires pour effectuer les interventions suivantes: démoussage et nettoyage de toiture; réparation et pose de gouttières; charpenterie; installation de Velux ou lucarnes. Sachez que nos professionnels offrent une intervention en urgence 24h/24 7j/7 . N’hésitez pas à nous consulter !
Mentions Légales | Gestion des cookies | Protection de la vie privée | Plan du Site | Ils Parlent de Nous sur Internet | Partenaires
Inscrivez votre numéro de téléphone ci-dessous et on vous rappellera rapidement.