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Réparation de Toiture Ermont (95120)

Vous avez repéré une fuite qui vient de votre toit ? Vos tuiles sont cassées et vous cherchez une entreprise de réparation de toiture à Ermont ? Richard Couverture s’occupe de tout type de toiture et vous apporte des solutions adaptées à vos problèmes de toiture, quel que soit le matériau dans lequel il a été conçu à Ermont dans le Val-d’Oise.

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La Réparation de votre revêtement de toiture reste notre priorité à Ermont, 95120

Vous vous êtes rendu compte que votre toiture vieillit à Ermont ? Vous ignorez comment réparer cela ? Vous prévoyez des prestations de couverture ? Rassurez-vous, nous sommes le couvreur à Ermont qu’il vous faudra !

toiture endommagée réparé Ermont

Nous réparons tout type de toit à Ermont

Avant d’effectuer une remise en état de toiture, notre spécialiste couvreur doit commencer par déterminer la cause du problème, celle-ci pouvant être vraiment diversifiée. Le professionnel en couverture va ainsi mener une vérification visuelle de votre toit par l’intérieur dans le but de repérer les surfaces où il manque des ardoises ou tuiles. Ensuite, il se rendra sur votre toit pour faire un constat plus précis de cette couverture. À l’issue de cet examen, il vous dira les détails des travaux de réfection de toit à Ermont qu’il doit mettre en place pour assurer son imperméabilité. Ensuite, il vous donnera un devis d’entretien de couverture à Ermont. Alors après votre consentement, nous pourrons démarrer le chantier.

La réfection de toiture dans la ville de Ermont

La rénovation de toiture peut être intégrale lorsqu’elle est totalement à remplacer. Cela peut se produire si elle est vraiment ancienne ou à la suite de phénomènes météorologiques. Dans cette dernière situation, vous serez contraint de faire recours à votre maison d’assurance. Notre entreprise de couverture sur Ermont
met donc en place un système de protection d’urgence qui sert à fortifier votre toit de manière provisoire jusqu’à ce qu’on puisse remettre votre toit totalement.

Dans le cas d’une remise en état de toiture sur Ermont
partielle, la réparation la plus fréquente est la rechange de tuiles que ce soit puisqu’elles se sont enlevées ou puisque d’autres ont été cassées. Le remplacement de tuiles fait l’objet d’une technique précise parfaitement maitrisée par notre expert en couverture qui tiendra compte de toutes les précautions appropriées pour ôter la tuile à remplacer et fixer la tuile neuve en la posant efficacement à l’ensemble de sorte que le tout soit robuste et imperméable.
Il y a à la pointe de votre toit une ligne de tuiles appelée faîtage. La remise à neuf de toiture concerne ce dernier lorsqu’il est dégradé ou qu’il qu’il bouge en cas de vent. Notre expert en couverture sur Ermont a des suggestions à vous octroyer afin que cela ne se manifeste plus.

Réparation des différentes parties sur votre toiture

couvreur sur le toit avec harnais entrain de réparer toit à Ermont

Par ailleurs, outre le changement de tuiles, la réparation de toit à Ermont
pourra également toucher les éléments qui se trouvent sur la toiture. Alors notre société de revêtement de toiture peut effectuer la modernisation d’une couche de cheminée, réparer une fuite sur cette dernière ou encore remettre le système d’étanchéité lorsque elle est endommagée par une insuffisante jonction entre les ouvertures de toit ou entre des panneaux photovoltaïques et le toit. Il assurera tous les chantiers de zinguerie indispensables.
Aussitôt que votre toiture se détériore, rejoignez notre entreprise de couverture de sorte que les services soient réalisés au plus vite. Cela vous permettra d’éviter d’avoir une facture de remise en état de toiture dans la ville de Ermont avec un tarif trop inabordable !

Nos Services à Ermont

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À propos de Ermont

Ermont est une commune française située dans le département du Val-d’Oise, en région Île-de-France. Elle est membre de la Communauté d’agglomération Val Parisis. Avec 28 939 habitants au dernier recensement de 2019, c’est l’une des plus importantes communes du Val-d’Oise et de la vallée de Montmorency.

La commune est située au cœur de la vallée de Montmorency, à quinze kilomètres au nord-ouest de Paris. Elle est limitrophe des communes d’Eaubonne, Saint-Gratien, Sannois, Franconville, Le Plessis-Bouchard, Saint-Leu-la-Forêt et Saint-Prix. Ermont est une ville fortement urbanisée.

La ville d’Ermont est accessible par les lignes Ligne H du Transilien et Ligne J du Transilien du Transilien ainsi que par la ligne (C) du RER. Elle possède quatre gares, la plus importante étant celle d’Ermont – Eaubonne qui permet de rejoindre :

Les trois autres gares sont celles de Cernay, qui dessert le quartier du même nom, ainsi que celle d’Ermont-Halte et de Gros Noyer – Saint-Prix.

De plus, la ville est parcourue par de nombreuses lignes de bus qui desservent les quartiers de la ville et les communes voisines :

La ligne 138 est prolongée jusqu’à la gare d’Ermont – Eaubonne en heure de pointe du lundi au vendredi et toute la journée jusqu’à 19 h le samedi pour se rediriger vers la porte de Clichy.

En 2018, la gare d’Ermont – Eaubonne est desservie par une ligne d’autocars électriques à longue distance reliant Amiens à Paris-La Défense, opérée par FlixBus et B.E. Green,.

Le territoire communal n’est traversé par aucun cours d’eau significatif.

La commune est alimentée en eau potable par l’usine de production de Méry-sur-Oise, appartenant au Syndicat des eaux d’Île-de-France et exploité par la société Veolia eau. L’eau potable à Ermont est de très bonne qualité bactériologique, contenant peu de nitrates, étant peu fluorée et devenue relativement peu calcaire depuis la mise en place de la nanofiltration en 1999 à l’usine de distribution. L’eau distribuée est d’origine superficielle, provenant de la filtration des eaux de l’Oise[8][9].

Ermont comme toute l’Île-de-France est soumis à un climat océanique dégradé. Il se différencie du climat de Paris intra-muros par un écart de température de quelques degrés, particulièrement notable au lever du jour, et qui a tendance à s’accentuer au fil des années. Cet écart, de °C en moyenne mais qui peut atteindre °C par une nuit claire et un vent faible, s’explique par la densité urbaine qui augmente la température au cœur de l’agglomération. La température moyenne annuelle est de 11 °C, le mois le plus le froid est janvier avec +°C ; les mois les plus chauds sont juillet et août avec +19 °C (moyenne journalière).

Ermont est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l’Insee,,,. Elle appartient à l’unité urbaine de Paris, une agglomération inter-départementale regroupant 411 communes[14] et 10 785 092 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue,.

Par ailleurs la commune fait partie de l’aire d’attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal. Cette aire regroupe 1 929 communes[17][18].

Ermont est une ville possédant un nombre de logements sociaux d’environ 30 %.

La ville d’Ermont possède donc un réseau de transport en commun particulièrement dense parmi les villes du département. Son histoire est d’ailleurs liée à celle du chemin de fer. De ce fait, bien qu’il ne reste pratiquement plus de foncier disponible, Ermont a encore un fort potentiel de développement économique et de densification urbaine. Ses quatre gares permettent d’absorber des flux plus importants, et les plus grands projets urbains d’Ermont concernent d’ailleurs la densification des abords de gares. Ainsi le projet de la « ZAC Ermont-Eaubonne » vise à reconstruire un quartier entier. Il est porté depuis longtemps par le maire d’Ermont et a suscité plusieurs contestations[21][22].

La reconstruction du quartier de la Gare d’Ermont-Eaubonne a débuté en 1996. Ce projet prévoit, dans un premier temps, de construire un bâtiment de 107 logements, un second de 140 logements et 2 600 m de commerces comprenant une grande surface et trois commerces, et un troisième bâtiment de 128 logements dont 15 en location sociale ainsi qu’un immeuble de bureau de 3 000 m2. Dans un second temps seront construits 12 100 m de bureaux, 246 logements dont 28 logements sociaux, 1 230 m2 de commerces et une crèche intercommunale avec la commune d’Eaubonne comportant 60 berceaux (30 pour Ermont et 30 pour Eaubonne).

Une polémique est née sur le coût de la construction des logements de la ZAC Ermont-Eaubonne, à la suite d’un rapport de la Cour des comptes très critique sur la gestion financière de l’opération. En 2013, le déficit public est estimé à 20 millions d’euros alors que l’aménageur privé devrait dégager plus de 18 millions d’euros de bénéfices.

Le nom de la localité est attesté sous les formes Ermedonis viculus en 835, Ermon, Hermont, Ermeron au XIIe siècle, Eccl. de Ermonte en 1523, et Herimontium[25].

Les formes les plus anciennes montrent qu’il ne s’agit pas d’une formation médiévale en -mont, mais la métathèse ermedon- > *ermon- est sûrement motivée par le terme mont.

Ernest Nègre estime qu’il s’agit de l’anthroponyme germanique Ermido > Ermidon, pris absolument. Cette solution est fréquemment observée dans la toponymie médiévale.

On peut estimer au Néolithique la date d’installation des premières populations dans la vallée de Montmorency et sur le site d’Ermont.

Un village gallo-romain est établi sur la voie romaine de Lutèce à Juliobonna (Lillebonne près du Havre) dite « chaussée Jules César ».

Il fut détruit à la fin du III siècle lors des incursions germaniques puis rebâti au IVe siècle.

Il prospère à l’époque mérovingienne aux VI et VIIe siècles. L’existence d’Ermedonis est attestée par un acte de l’abbaye de Saint-Denis au IX siècle, et un sanctuaire chrétien est édifié sur l’emplacement de la nécropole mérovingienne.

Sous Philippe Auguste, Jean de Giron en possédait l’église. Le hameau de Cernay, ancienne commanderie de l’ordre de Malte, qui dépend d’Ermont, se développe en parallèle. Plusieurs communautés religieuses s’établissent sur le territoire d’Ermont, d’abord les templiers au XIII siècle, puis l’abbaye Saint-Victor de Paris, les célestins de Rouen et le prieuré du Bois-Saint-Père. Mais la communauté villageoise ne dépasse pas les 40 habitants en 1471.

Le village, essentiellement agricole et regroupé autour de son église, prend progressivement de l’importance. Il subit avec toute la vallée de Montmorency les ravages de la Grande Jacquerie de 1358, puis les campagnes anglaises de la guerre de Cent Ans.

Au XVI siècle, le grand prieur de France avait la seigneurie d’Ermont.

Il connaît encore les destructions de la Fronde entre 1648 et 1652.

L’activité essentielle du lieu est la viticulture, qui recule dès le XVIII siècle devant l’expansion des cultures légumière et arboricole.

Au XIX siècle, l’expansion du chemin de fer participe au développement de la ville avec la création d’un important nœud ferroviaire sur son territoire. L’urbanisation s’est développée le long de ces voies ferroviaires.

C’est enfin au XX siècle que se développent les zones pavillonnaires, ainsi qu’une importante croissance démographique qui fait progressivement reculer puis disparaître l’agriculture[26]. Les lotissements s’établissent autour du nœud ferroviaire constitué des quatre gares actuelles (la gare d’Ermont-Eaubonne, de Cernay, d’Ermont-Halte et de Gros Noyer-Saint Prix).

Elle reçut l’un des premiers lycées mixtes du Val-d’Oise, le lycée mixte d’Ermont (aujourd’hui lycée Van Gogh), construit à l’emplacement de ce qui fut le château de Cernay.

L’influence du chemin de fer a été très importante dans le développement de la ville, qui a conservé quatre gares. De nombreux terrains appartiennent encore à la SNCF. La nouvelle gare d’Ermont-Eaubonne, imposante, témoigne toujours de l’importance du transport ferroviaire à Ermont.

Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964, la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d’Oise et à son arrondissement de Pontoise après un transfert administratif effectif au .

Pour l’élection des députés, Ermont fait partie de la quatrième circonscription du Val-d’Oise.

Elle faisait partie de 1801 à 1831 du canton de Montmorency, année où elle intègre le canton de Taverny, puis, en 1964, le canton de Saint-Leu-la-Forêt du département de Seine-et-Oise. Lors de la mise en place du Val-d’Oise, la ville devient en 1967 le chef-lieu du canton d’Ermont. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est désormais le bureau centralisateur, est modifié, passant de une à deux communes.

La ville fait partie de la juridiction d’instance de Montmorency, et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise. La commune accueille par ailleurs une maison de la justice et du droit (60, rue de Stalingrad),.

La commune était membre de la communauté d’agglomération Val-et-Forêt, créée en 2000 sous le statut juridique de communauté de communes.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du 27 janvier 2014, qui prévoit la généralisation de l’intercommunalité à l’ensemble des communes et la création d’intercommunalités de taille importante, le préfet de la région d’Île-de-France approuve le un schéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment « l’extension du périmètre de la communauté d’agglomération Le Parisis aux communes de Frépillon, Saint-Leu-la-Forêt, Le Plessis-Bouchard, Ermont et Eaubonne ».

Dans ce cadre a été créée le la communauté d’agglomération Val Parisis, dont est désormais membre la commune.

En 2019, la communauté d’agglomération a rendu au communes la compétence relative à la voirie

À l’élection présidentielle de 2007, le premier tour a vu arriver en tête Nicolas Sarkozy avec 30,76 %, suivi par Ségolène Royal avec 27,54 %, François Bayrou avec 21,82 %, Jean-Marie Le Pen avec 8,46 %, enfin Olivier Besancenot avec 3,52 %, aucun autre candidat ne dépassant le seuil des 2 %. Le second tour a vu arriver en tête Nicolas Sarkozy avec 51,01 % (résultat national : 53,06 %) contre 48,99 % pour Ségolène Royal (national : 46,94 %).

Pour les élections régionales de 2010, les résultats du second tour sont les suivants : Liste Jean-Paul Huchon (PS) : 58,87 % des suffrages exprimés contre 41,13 % pour la liste de Valérie Pécresse (UMP).

Lors du premier tour des municipales de 2014, la liste menée par Hugues Portelli (UMP) remporte l’élection avec 65,5 % des suffrages exprimés, contre celle menée par Mathias Trogrlic (PS) avec 24,2 % ; celle de Patrick Von Dahle (EELV) avec 6,3 % ; celle de Cécile Perraudin (LO) : 2,3 % et celle de Michel Lucarelli (POI) : 1,7 %. Inscrits : 18 381 personnes étaient inscrites sur les listes électorales et la participation s’est élevée à 51,03 %.

Pour les municipales de 2020, Hugues Portelli, maire sortant, annonce ne pas être candidat et laisse la tête de la liste de l’équipe sortante à Xavier Haquin, jusqu’alors premier maire-adjoint et conseiller départemental, soutenu par les Républicains. Lors du premier tour de ces élections[36]., la liste DVD ainsi menée par Xavier Haquin remporte la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 3 929 voix (67,19 %, 30 conseillers municipaux élus dont 8 communautaires), devançant très largement les listes menées respectivement par, :

Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 67,16 % des électeurs se sont abstenus.

La ville a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d’Agenda 21 en 2009. Le programme d’actions de l’agenda 21 local a été adopté lors du conseil municipal du 17 novembre 2011.

Afin de lutter contre les inondations d’orages, récurrentes notamment dans le secteur de la rue de l’Est, le syndicat intercommunal d’assainissement de la région d’Enghien-les-Bains (SIARE) a réalisé en 2018 un bassin de stockage d’eaux unitaires enterré de 5 500 m sous la cour de l’école maternelle Victor Hugo, pour un coût de 6 525 000 [49].

En 2020, une ferme pédagogique accueillant vaches, cochons et chèvres est implantée place du Foirail. Elle est destinée aux enfants des écoles maternelles et élémentaires de la ville ainsi qu’aux collégiens et lycéens et comprend des parcours pédagogiques organisés avec des professionnels tout au long de l’année

Parallèlement à la démarche d’Agenda 21, un Conseil du développement durable et solidaire a été créé. Il regroupe des habitants de la ville, des élus, des représentants du monde institutionnel et associatif. Les deux principales missions de ce conseil sont d’évaluer les actions de l’Agenda 21 et de proposer de nouvelles initiatives relatives au développement durable à Ermont.

De 1996 à 2003, les jeunes âgés de 9 à 15 ans ont eu des représentants au sein du conseil municipal des jeunes. Depuis 2003, le conseil est élargi aux 9-18 ans, qui sont désormais représentés par les élus du Conseil municipal d’enfants et de jeunes (CMEJ), qui a été renouvelé en octobre 2017.

Le CMEJ est consulté sur des projets de la commune les concernant et la décision de leur mise en œuvre leur revient. L’un des objectifs de ce conseil représentatif est de permettre aux jeunes élus d’acquérir le sens de la citoyenneté, des responsabilités et le respect des autres. On peut noter que le premier conseil municipal des enfants refusa l’implantation à Ermont d’un Mc Donald’s.

Avec un taux de taxe d’habitation de 15,42 % en 2016, la pression fiscale pour les particuliers à Ermont est dans la moyenne du département. Le taux de la taxe sur le foncier bâti est établi en 2016 à 18,04 % et celui du foncier non bâti à 82,41 %.

À titre de comparaison, le taux de la taxe d’habitation est de 14,94 % à Eaubonne en 2015 et de 17,25 % à Franconville en 2016.

Ermont a signé des serments de jumelage avec:

L’évolution du nombre d’habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l’Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d’information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d’une période de cinq ans. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d’une enquête par sondage auprès d’un échantillon d’adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans,

En 2019, la commune comptait 28 939 habitants, en augmentation de 3,28 % par rapport à 2013 (Val-d’Oise : +4,6 %, France hors Mayotte : +2,17 %).

La ville relève de l’académie de Versailles et fait partie du bassin d’éducation et de formation d’Enghien-les-Bains.

Les écoles de la commune sont gérées par l’inspection générale de l’inspection départementale de l’Éducation nationale d’Ermont (1, rue de l’Est).

En 2020, sept écoles maternelles, six écoles primaires, deux collèges et trois lycées dont deux professionnels. La commune accueille également un centre de formation des apprentis.

Le groupe scolaire Louis Pergaud, qui comprenait une école maternelle et une école primaire, a été fermée sur décision de la mairie à la rentrée 2010, principalement motivée par les économies conséquentes ainsi effectuées. Cette fermeture a été fortement contestée par une partie des habitants, entraînant des manifestations, l’ouverture d’un blogue dédié et d’une pétition[61].

La ville organise des accueils péri-scolaires, dont les modalités d’accès ont été rigidifiées en 2017.

À la fin de 2015, la municipalité annonce que le théâtre de l’Aventure, situé dans le quartier du Gros Noyer, va fermer en juin 2016, son coût étant trop élevé pour les finances de la ville selon le maire. Une pétition contre la fermeture de ce théâtre recueille plus de 3600 signatures au printemps 2016[64]. Une manifestation réunit 300 personnes le 21 mai 2016 contre la fermeture du théâtre.

Le nouveau conservatoire Jacques Juteau consacré à la musique, à la danse et au théâtre, destiné à accueillir 650 élèves est mis en service en 2020 dans le quartier du Foirail, pour un coût estimé à 6,2 M€. Il contient un auditorium de 150 places,.

La fête des Vendanges, célébrée début Septembre, rappelle l’orientation viticole passée de la ville et de ses alentours.

En janvier 2012, Ermont s’est engagée, en partenariat avec l’Agence régionale de santé (ARS), dans un Contrat local de santé (CLS). L’objectif est de répondre à plusieurs problématiques essentielles du territoire :

Le 9 mars 2009, la Ville a signé la Charte Ville-Handicap avec de nombreuses associations œuvrant pour les personnes atteintes de handicaps.

La clinique Claude-Bernard d’Ermont, située au 9, avenue Louis-Armand, accueille depuis l’automne 2017 le centre d’assistance médicale à la procréation (AMP) du Val-d’Oise de la clinique du Parisis de Cormeilles,.

Ermont bénéficie de nombreuses structures sportives : complexes sportifs Gaston Rebuffat, Auguste Renoir, Raoul Dautry, Antoine de Saint-Exupéry, Marcellin Berthelot avec la piscine municipale et les tennis, sa maison des Associations, gymnases Guérin Drouet, Victor Hugo, Édouard Branly, Louis Pasteur, Van Gogh, terrain d’Aventure Gaston Rebuffat, terrains multisports, rollers parks, parc de loisirs de Cernay et une piscine intercommunale.

Le stade Raoul Dautry, stade olympique en 1924, est en 2013 dans un mauvais état, plusieurs bâtiments sont en effet désaffectés.

Ermont possède un club de football, l’AS Ermont qui évolue actuellement en régional 3 d’île de France (R3)

L’association des clubs de tennis-Ermont (ACTE), son club historique a inauguré au printemps 2019 deux terrains de padel, les premiers du département, qui s’ajoutent aux cours de tennis, dont certains en terre battue, dont elle dispose.

En 2008, Hugues Portelli, crée une polémique en qualifiant la distribution de repas par Les Restos du cœur d’assistanat. Il a interdit les maraudes des Restos du Cœur à Ermont malgré les protestations de la Ligue des Droits de l’Homme[75].

Dans le courrier adressé à la ligue des Droits de l’Homme, Hugues Portelli explique que “Les distributions alimentaires en faveur des Ermontois sont assurées trois fois par semaine par l’Épicerie Sociale que la municipalité a contribué à créer en 2000“, une structure dont “l’appui logistique et une grande partie du financement” sont assurés par la municipalité. il rappelle par ailleurs que les Restos restent ” toujours destinataires de la subvention que la commune d’Ermont leur alloue annuellement” malgré l’arrêt des maraudes.

Ermont dispose par ailleurs d’une épicerie sociale ouverte depuis décembre 2020. Cette structure permet à des personnes en difficulté de se procurer des produits alimentaires et d’hygiène à moindre coût. L’épicerie sociale est le résultat d’un partenariat entre associations caritatives et institutions locales d’Ermont, de Saint-Prix et du Val-d’Oise.[76]

La commune ouvre en 2017 une maison de services au public (MSAP) en Gare d’Ermont – Eaubonne, destinée à rassembler en un même lieu les services de la CAF, de la CPAM, d’une partie de l’état civil, de La Poste, de Pôle emploi, et la billetterie grandes lignes de la SNCF. Elle est animée par six fonctionnaires municipaux.

La ville a ouvert en 2018 une agence postale au centre socioculturel du quartier des Chênes, en compensation de la fermeture d’un bureau de poste,.

Les différents cultes à Ermont sont organisés de la manière suivante :

En 2015, le revenu moyen par ménage était de 33 530 , ce qui plaçait Ermont au 5 274 rang parmi les 36 717 communes en métropole[87].

En 2016, le taux de chômage pour la commune s’élève à 11,1 %, un chiffre supérieur à la moyenne nationale (10,2 % au premier trimestre 2016)[89].

Le marché du travail est l’un des plus importants du Val d’Oise grâce à un commerce de proximité dense, diversifié et performant, et un tissu d’entreprises artisanales.

La commune d’Ermont possède un seul monument historique sur son territoire. Il s’agit du Club des Espérances, 3 avenue de l’Europe (inscrit monument historique en 2008) : Ses deux bâtiments ont été conçus par l’architecte de renom Jean Prouvé, mais l’intérêt historique du club vient aussi de son histoire particulière. Sa construction est due au concours des Mille Clubs, un dispositif lancé par le ministère de la Jeunesse et des Sports pour financer de nouveaux lieux bâtis et décorés par les jeunes eux-mêmes. Quand la municipalité veut sacrifier les pavillons à un projet immobilier, elle provoque un tollé parmi les architectes français, aboutissant à une inscription aux monuments historiques à la dernière minute[91].

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